La sortie de Ligue Démocratique (LD) contre la position du Chef de l’Etat, Macky Sall sur la transhumance n’est vraiment pas pour plaire à l’Alliance Pour la République où après le porte-parole adjoint du parti, Abdou Mbow, la présidente de la Convergence des Jeunesses Républicaines (COJER) remonte au créneau. Thérèse Faye flingue Mamadou Ndoye et Cie. « « Lorsqu’on est ensemble, on doit pouvoir se dire la vérité » mais « ce n’est pas parce que la LD a sa liberté de ton qu’elle peut se permettre d’attaquer ou de critiquer vertement le président de la République », enclenche l’apériste qui corse le ton. Ce, pour elle de dire que « tout le monde se rappelle l’histoire des volontaires et des vacataires ».
« Qui était ministre de l’Education nationale à l’époque ? A un moment donné de l’histoire, la LD a eu quand même à gérer ce département. Le système des vacataires et des volontaires, c’est l’œuvre de la LD», campe Thérèse Faye qui est loin d’en avoir fini. «Ils sont les premiers responsables de cette situation de pourrissement de l’école. Avec le président, Macky Sall, on essaie au moins de régler les dysfonctionnements. Tout cela parce qu’on a trouvé une situation qui, si elle avait été maintenue, allait détériorer complétement le système», dit-elle. Forte de ce fait, la présidente du COJER à la place des critiques, formule tous les acteurs qu’ils soient de la société civile, enseignant ou autre à « accompagner le président dans sa dynamique de refonder le système éducatif ».
Et clôt-elle dans "l'As": « Chacun est libre de dire ce qu’il pense de la transhumance mais aucun parti que ce soit le Parti Socialiste (PS), le Parti Démocratique Sénégalais (PDS) ou un autre n’a de leçons à donner à l’APR… ».
« Qui était ministre de l’Education nationale à l’époque ? A un moment donné de l’histoire, la LD a eu quand même à gérer ce département. Le système des vacataires et des volontaires, c’est l’œuvre de la LD», campe Thérèse Faye qui est loin d’en avoir fini. «Ils sont les premiers responsables de cette situation de pourrissement de l’école. Avec le président, Macky Sall, on essaie au moins de régler les dysfonctionnements. Tout cela parce qu’on a trouvé une situation qui, si elle avait été maintenue, allait détériorer complétement le système», dit-elle. Forte de ce fait, la présidente du COJER à la place des critiques, formule tous les acteurs qu’ils soient de la société civile, enseignant ou autre à « accompagner le président dans sa dynamique de refonder le système éducatif ».
Et clôt-elle dans "l'As": « Chacun est libre de dire ce qu’il pense de la transhumance mais aucun parti que ce soit le Parti Socialiste (PS), le Parti Démocratique Sénégalais (PDS) ou un autre n’a de leçons à donner à l’APR… ».
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