Après l’appui technique sollicité à l’endroit de la France par le président de la République pour la réparation du tuyau défectueux de l’usine Keur Momar Sarr, une équipe d’experts a été envoyée par l’Agence Française de Développement (AFD). A la tête de l’équipe française, l’experte en eau et assainissement, Cassilde Bréniérec a confié : « nous allons dans la mesure de nos possibilités appuyer l’ensemble des acteurs, la SONES, la SDE et l’Etat du Sénégal pour rétablir cette crise. Nous sommes mobilisés au maximum. Nous constatons que ces entreprises (qui travaillent pour la réparation du tuyau) sont très performantes, elles ont mis en place énormément de mesures pour résoudre la crise ».
Cependant, à côté de l’ambassadeur de la France accréditée au Sénégal, Mme Bréniérec consciente de l’ampleur de sa tâche avoue : « il est vrai que le sujet (la panne) est relativement critique. Nous allons miser sur l’appui des entreprises dans un premier temps et en second lieu, nous étudierons les mécanismes de financement nécessaires pour permettre une viabilité à long terme du système ».
Toujours pour solutionner le problème, l’experte française indique dans les colonnes de « L’observateur » : « nous allons appuyer dans un premier temps sur l’acheminement de pièces de rechange cuisinées en France. Quelques pièces de l’usine de Ngith seront échangées pour augmenter sa production rapidement, et à long terme, nous étudierons les différentes stratégies qu’il faudra adopter pour résoudre pour de bon cette question ».
Cependant, à côté de l’ambassadeur de la France accréditée au Sénégal, Mme Bréniérec consciente de l’ampleur de sa tâche avoue : « il est vrai que le sujet (la panne) est relativement critique. Nous allons miser sur l’appui des entreprises dans un premier temps et en second lieu, nous étudierons les mécanismes de financement nécessaires pour permettre une viabilité à long terme du système ».
Toujours pour solutionner le problème, l’experte française indique dans les colonnes de « L’observateur » : « nous allons appuyer dans un premier temps sur l’acheminement de pièces de rechange cuisinées en France. Quelques pièces de l’usine de Ngith seront échangées pour augmenter sa production rapidement, et à long terme, nous étudierons les différentes stratégies qu’il faudra adopter pour résoudre pour de bon cette question ».
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