Le président Macky Sall a présidé ce lundi la cérémonie d’inauguration de l’Ecole de la Marine nationale. Le Camp général Mountaga Diallo de Bel Air, abritera ce nouveau joyau de la Marine nationale qui cristallise à la fois des "richesses, des opportunités, des défis et des risques de tout genre."
Le chef de l'Etat a rappelé à cet effet, qu’avec une façade côtière longue de plus de 700 km, notre territoire maritime, soit plus de 212 000 km2, est plus étendu que notre territoire terrestre.
"Ce qui fait que (...) notre sort est lié à la mer au regard des zones et des ressources à surveiller, à exploiter et à gérer. Ainsi, près de 90% des flux commerciaux et des données informatiques transitent aujourd’hui par les océans", a fait savoir le Président Sall.
Malheureusement, a t-il regretté "tout cela nous expose aussi aux risques et périls liés à notre situation de pays côtier. Je pense à la pêche illicite, non déclarée et non règlementée, à la piraterie, aux réseaux d’émigration clandestine, à la pollution marine, au trafic de drogue, d’armes, et j’en passe."
Surtout avec "l’explosion inédite du trafic maritime et autres activités en mer, y compris l’exploitation des hydrocarbures, le rôle des gens de mer s’accroit et se complexifie à travers le monde. Il nous faut donc poursuivre la mise à jour de nos capacités humaines et matérielles d’exercer pleinement notre souveraineté sur l’espace maritime relevant de notre juridiction nationale. "
Voilà pourquoi, a indiqué le Président Sall "à la montée en puissance de notre Marine nationale, composante essentielle de nos moyens de défense. C’est le sens des importants efforts budgétaires que nous avons consentis en vue d’acquérir des navires dotés de systèmes de combat de dernière génération. C’est un investissement jamais réalisé au profit de nos Armées."
Au regard des enjeux, ce renforcement des capacités matérielles et logistiques de la marine se veut d'acte "de souveraineté de première classe pour protéger notre sécurité et notre économie", a souligné le chef de l'Etat.
Le chef de l'Etat a rappelé à cet effet, qu’avec une façade côtière longue de plus de 700 km, notre territoire maritime, soit plus de 212 000 km2, est plus étendu que notre territoire terrestre.
"Ce qui fait que (...) notre sort est lié à la mer au regard des zones et des ressources à surveiller, à exploiter et à gérer. Ainsi, près de 90% des flux commerciaux et des données informatiques transitent aujourd’hui par les océans", a fait savoir le Président Sall.
Malheureusement, a t-il regretté "tout cela nous expose aussi aux risques et périls liés à notre situation de pays côtier. Je pense à la pêche illicite, non déclarée et non règlementée, à la piraterie, aux réseaux d’émigration clandestine, à la pollution marine, au trafic de drogue, d’armes, et j’en passe."
Surtout avec "l’explosion inédite du trafic maritime et autres activités en mer, y compris l’exploitation des hydrocarbures, le rôle des gens de mer s’accroit et se complexifie à travers le monde. Il nous faut donc poursuivre la mise à jour de nos capacités humaines et matérielles d’exercer pleinement notre souveraineté sur l’espace maritime relevant de notre juridiction nationale. "
Voilà pourquoi, a indiqué le Président Sall "à la montée en puissance de notre Marine nationale, composante essentielle de nos moyens de défense. C’est le sens des importants efforts budgétaires que nous avons consentis en vue d’acquérir des navires dotés de systèmes de combat de dernière génération. C’est un investissement jamais réalisé au profit de nos Armées."
Au regard des enjeux, ce renforcement des capacités matérielles et logistiques de la marine se veut d'acte "de souveraineté de première classe pour protéger notre sécurité et notre économie", a souligné le chef de l'Etat.
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