El Hadj Oumar Lamine Badji reste toujours présent dans la mémoire des habitants de Sindian. En effet, 10 ans après sa disparition, les populations de cette localité ont commémoré ce drame par des cérémonies de recueillement et de prière, sous la présence des autorités administratives de Ziguinchor et des hommes politiques.
Mais, les dénonciations n’ont pas été en reste. En effet, les organisateurs de cet anniversaire ont fustigé la manière avec laquelle cette affaire a été menée. Car, pestent-t-ils, toutes les pistes n’ont pas été exploitées correctement. Ce qui a poussé le coordonnateur de l’anniversaire, Seydou Badji, à marteler que «La justice sénégalaise n’a pas fait son travail».
El Hadj Oumar Lamine Badji, président du Conseil régional de Ziguinchor, et membre du Parti démocratique sénégalais (Pds) au moment des faits, a été froidement assassiné par des éléments armés, dans son domicile à Sindian.
Deux jours après le meurtre, le principal suspect, Aba Diédhiou fut arrêté. Mais, il mourra deux mois après, lors de son transfèrement.
Lors des assises de Ziguinchor tenues le 26 janvier 2015, cinq (5) suspects ont été reconnus coupables et condamnés à 20 ans de travaux forcés. Mais, seuls deux (2) continuent de purger leur peine, les trois (3) autres étant libérés.
Mais, les dénonciations n’ont pas été en reste. En effet, les organisateurs de cet anniversaire ont fustigé la manière avec laquelle cette affaire a été menée. Car, pestent-t-ils, toutes les pistes n’ont pas été exploitées correctement. Ce qui a poussé le coordonnateur de l’anniversaire, Seydou Badji, à marteler que «La justice sénégalaise n’a pas fait son travail».
El Hadj Oumar Lamine Badji, président du Conseil régional de Ziguinchor, et membre du Parti démocratique sénégalais (Pds) au moment des faits, a été froidement assassiné par des éléments armés, dans son domicile à Sindian.
Deux jours après le meurtre, le principal suspect, Aba Diédhiou fut arrêté. Mais, il mourra deux mois après, lors de son transfèrement.
Lors des assises de Ziguinchor tenues le 26 janvier 2015, cinq (5) suspects ont été reconnus coupables et condamnés à 20 ans de travaux forcés. Mais, seuls deux (2) continuent de purger leur peine, les trois (3) autres étant libérés.
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