Un bus interurbain en provenance de Touba a heurté un car "Ndiaga Ndiaye" qui transportait des pèlerins venant de Porokhane. Le drame a eu lieu aux environs de 15 heures, à hauteur de la commune de Dinguiraye, à l'entrée de Nioro sur la route de Kaolack.
Un berger témoin du drame, raconte: "On a vécu des heures horribles. Le car "Ndiaga Ndiaye est complètement détruit. Après le choc, les passagers étaient coincés à l'intérieur. Je suis tombé sur le drame au moment où je revenais d'un puits, tout près de la route. J'ai entendu un brusque coup de freinage d'une voiture. C'est là que je me suis retourné. J'ai alors abandonné mon troupeau pour me précipiter. J'étais tétanisé à mon arrivée".
Et, Mabo Sow de poursuivre: "Je suis resté des minutes à trembler et le premier réflexe que j'ai eu, c'est d'appeler les sapeurs-pompiers. C'était comme dans un film d'horreur. Tout le monde criait. Ceux qui étaient moins blessés essayaient de sortir, d'autres coincés entre les bancs du car étaient immobiles. Et sas rien pouvoir faire pour sauver ces pauvres gens, j'ai commencé à verser des larmes".
Ayant assisté à toute la scène, le vieux berger précise dans "Vox Populi" que "l'accident est causé par le chauffeur du bus. Il a violemment heurté le car "Ndiaga Ndiaye" dont le conducteur a tout fait pour éviter le choc".
A l'hôpital régional El Hadji Ibrahima Niass de Kaolack où les nombreux blessés et les corps sans vie ont été transférés, les autorités locales étaient sur place pour constater les dégâts et apporter leur soutien moral et financier aux victimes.
Un berger témoin du drame, raconte: "On a vécu des heures horribles. Le car "Ndiaga Ndiaye est complètement détruit. Après le choc, les passagers étaient coincés à l'intérieur. Je suis tombé sur le drame au moment où je revenais d'un puits, tout près de la route. J'ai entendu un brusque coup de freinage d'une voiture. C'est là que je me suis retourné. J'ai alors abandonné mon troupeau pour me précipiter. J'étais tétanisé à mon arrivée".
Et, Mabo Sow de poursuivre: "Je suis resté des minutes à trembler et le premier réflexe que j'ai eu, c'est d'appeler les sapeurs-pompiers. C'était comme dans un film d'horreur. Tout le monde criait. Ceux qui étaient moins blessés essayaient de sortir, d'autres coincés entre les bancs du car étaient immobiles. Et sas rien pouvoir faire pour sauver ces pauvres gens, j'ai commencé à verser des larmes".
Ayant assisté à toute la scène, le vieux berger précise dans "Vox Populi" que "l'accident est causé par le chauffeur du bus. Il a violemment heurté le car "Ndiaga Ndiaye" dont le conducteur a tout fait pour éviter le choc".
A l'hôpital régional El Hadji Ibrahima Niass de Kaolack où les nombreux blessés et les corps sans vie ont été transférés, les autorités locales étaient sur place pour constater les dégâts et apporter leur soutien moral et financier aux victimes.
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