La machine judiciaire tarde à démarrer malgré la promesse de l’Etat sénégalais qui a retenu le 1er avril prochain comme date butoir pour le démarrage de l’affaire Hissène Habré (l’ex-chef d’Etat tchadien en exile depuis 1990 au Sénégal). Pour l’heure, la procédure judiciaire est encore au point mort.
Du côté de chambres africaines, selon « L’As », on assure qu’en réalité, ils en sont à la phase « dôté de chambres africaines, selon « L’As », on assure qu’en réalité, ils en sont à la phase « d’imprégnation ».
A en croire les sources judiciaires du même journal, « aucune chambre n’a encore de greffier. Et elles ne peuvent fonctionner sans les greffiers, ils constituent un maillon essentiel dans le fonctionnement de la procédure ».
A l’heure actuelle et à cinq (05) jours de la date butoir de l’Etat du Sénégal, seule une personne travaille. Il s’agit de « Nafi Diakhaté Ndiaye qui est logée dans les locaux de la Cour de répression de l’enrichissement illicite (Crei) et qui est chargée des appels d’offres pour l’achat des matériels ».
Autres articles
-
« Il y a eu sous Macky Sall une politisation à outrance judiciaire » Abdoulaye Ndiogou
-
Bus DDD incendié à Pikine : les travailleurs condamnent et réclament des poursuites judiciaires contre les auteurs
-
Affaire de l’Attentat du Bus à Yarakh, « c’est une farce » selon Abdoulaye Ndiogou
-
Jeune tué à Pikine : des organisations de défense des Droits de l’homme exigent l’ouverture d’une enquête
-
Mame Ndiaye Savon et Mamy Cobra convoquées à la cybercriminalité