L’attribution à Gemalto du marché de 9,2 milliards de francs CFA pour la numérisation des titres, la production et la pose de plaques d’immatriculation sécurisées n’a pas fait que des heureux auprès des soumissionnaires. En effet après son attribution à Gemalto les autres soumissionnaires au nombre de six (6) qui avaient participé à l’appel d’offres sur le marché pour la numérisation des titres n’excluent pas de contester la décision auprès de l’Autorité de régulation de régulation des marchés publics (ARMP).
Selon le journal Libération qui donne l’information, les soumissionnaires estiment que toutes les procédures n’ont pas été respectées. La même source qui a mis la main sur le procès-verbal précise que pour être éligible chaque candidat devait formuler son offre, fournir une garantie de 337 millions de francs CFA, indiquer sa banque et, surtout communiquer un échantillon de plaques d’immatriculation et un spécimen.
Toujours selon Libération, «tout le monde s’est conformé à ces exigences sauf Gemalto, l’entreprise adjudicataire du marché. Et l’affaire risque d’être dénoncée au niveau de l’autorité contractante, le ministère des Transports, et devant l’Armp».
Selon le journal Libération qui donne l’information, les soumissionnaires estiment que toutes les procédures n’ont pas été respectées. La même source qui a mis la main sur le procès-verbal précise que pour être éligible chaque candidat devait formuler son offre, fournir une garantie de 337 millions de francs CFA, indiquer sa banque et, surtout communiquer un échantillon de plaques d’immatriculation et un spécimen.
Toujours selon Libération, «tout le monde s’est conformé à ces exigences sauf Gemalto, l’entreprise adjudicataire du marché. Et l’affaire risque d’être dénoncée au niveau de l’autorité contractante, le ministère des Transports, et devant l’Armp».
Autres articles
-
Les douanes gambiennes renoncent à la hausse des droits prélevés sur le ciment sénégalais
-
Tribunal de Thiès : Il ligote son épouse avant d'introduire un tuyau dans ses parties intimes
-
Retard de salaires, conditions de travail, manque de transparence dans la gestion des affaires de l’entreprise : les travailleurs du groupe de presse Emedia broient du noir
-
Surproduction d'oignons et mévente : les producteurs de la zone des Niayes réclament des chambres froides
-
Souveraineté alimentaire : un programme agricole mise sur la chaine de valeur riz