"On ne le reconnait pas parce qu'il n'y a pas eu élection. Ce qui s'est passé n'est pas une élection'', a affirmé Boubacar Koné, porte-parole de la branche du FPI restée fidelle à Laurent Gbagbo, dans un entrtien à Alerte info.
"Si nous voulons être conséquents avec nous même, nous dirons que c'est le coup d'état de 2011 qui continue. C'est la 2e mi-temps du coup d'état de 2011'', a poursuivi M. Koné.
La branche du FPI conduite par Sangare Aboudramane avait appelé au boycott de la présidentielle du 25 octobre, estimant que les conditions d'un scrutin transparent n'étaient pas réunies.
Elle réclamait entre autres, une reforme de la Commission électorale indépendante (CEI) et la révision du code électoral.
A l'issue de l'élection, M. Pascal Affi N'guessan, chef de file de l'autre tendance, est arrivé en seconde position derrière M. Ouattara réélu dès le premier tour avec 83,66% des suffrages.
Avec Afrique-monde
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