C’était d’abord l’heure des adieux pour la présidente de la Commission, Nkosazana Dlamini Zuma, mais aussi l’heure des assurances de bienvenue. Car comme le Tchadien Idriss Déby, madame Dlamini Zuma a salué et fait applaudir les nouveaux présidents africains, élus ou réélus cette année.
Au premier rang desquels le nouveau président gambien Adama Barrow, absent du sommet, mais amplement applaudi par ses pairs. Nkosazana Dlamini Zuma, qui quitte la direction de la Commission après cinq ans et un bilan en demi-teinte, a également rendu un hommage appuyé à l’ancien dirigeant cubain Fidel Castro, « le plus grand révolutionnaire internationaliste de notre temps ».
Les décisions de Donald Trump s’invitent au sommet de l’UA
Par contraste, actualité oblige, la présidente sortante a également évoqué la fermeture des frontières américaines aux ressortissants de sept pays, dont trois pays africains. Elle a ainsi déploré que « le pays où nous étions jadis envoyés en esclavage refuse aujourd’hui d’accueillir des réfugiés ».
La décision du président Donald Trump a d’ailleurs été également dénoncée par le nouveau secrétaire général de l’ONU Antonio Guterres, et par le président de l’Autorité palestinienne Mahmoud Abbas, invité comme chaque année de l’Union africaine et elle le sera sans doute par tous les autres orateurs.
Au premier rang desquels le nouveau président gambien Adama Barrow, absent du sommet, mais amplement applaudi par ses pairs. Nkosazana Dlamini Zuma, qui quitte la direction de la Commission après cinq ans et un bilan en demi-teinte, a également rendu un hommage appuyé à l’ancien dirigeant cubain Fidel Castro, « le plus grand révolutionnaire internationaliste de notre temps ».
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Par contraste, actualité oblige, la présidente sortante a également évoqué la fermeture des frontières américaines aux ressortissants de sept pays, dont trois pays africains. Elle a ainsi déploré que « le pays où nous étions jadis envoyés en esclavage refuse aujourd’hui d’accueillir des réfugiés ».
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