Nous avons le droit de rentrer chez nous ! C’est en substance l’appel du cœur lancé par les ressortissants mauritaniens installés au Sénégal. Ces derniers qui commémoraient les événements qui les ont amenés dans notre pays étalent leur ras-le-bol face à cette situation qui fait d’eux des apatrides.
Aldiouma Cissokho qui dirige la Coordination regroupant ces réfugiés est d’avis que ce retour auquel ils aspirent est devenu une nécessité : «notre statut de réfugiés apatrides au Sénégal depuis décembre 2016 dépasse tout entendement. Nous n’avons pas de papiers, nos enfants non plus et il est même impossible pour nos femmes de trouver du travail, faute de papier d'identification», a-t-il martelé.
La Coordination des organisations de réfugiés mauritaniens au Sénégal regroupant 35 000 personnes qui réitère son appartenance « exclusivement» à la Mauritanie », exhorte la communauté internationale à exiger que les conditions soient réunies pour leur retour au pays natal.
Aldiouma Cissokho qui dirige la Coordination regroupant ces réfugiés est d’avis que ce retour auquel ils aspirent est devenu une nécessité : «notre statut de réfugiés apatrides au Sénégal depuis décembre 2016 dépasse tout entendement. Nous n’avons pas de papiers, nos enfants non plus et il est même impossible pour nos femmes de trouver du travail, faute de papier d'identification», a-t-il martelé.
La Coordination des organisations de réfugiés mauritaniens au Sénégal regroupant 35 000 personnes qui réitère son appartenance « exclusivement» à la Mauritanie », exhorte la communauté internationale à exiger que les conditions soient réunies pour leur retour au pays natal.
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