Une forte détonation a secoué, mercredi 18 janvier vers 8h, la ville de Gao, dans le nord du Mali. Plusieurs personnes auraient été tuées.
“La détonation était très forte. Au point que nos maisons en ont tremblé et l’électricité interrompue”, affirme un habitant au quartier Château.
Selon plusieurs témoins, il s’agit d’un attentat contre le camp du mécanisme opérationnel d’opération (MOC), un dispositif de l’accord de paix qui devait organiser le démarrage des patrouilles mixtes regroupant groupes armés, l’armée malienne et les forces internationales. ” C’est un kamikaze à bord d’une voiture qui à foncé sur le camp. Son corps déchiqueté est toujours devant le camp “, affirme un jeune patrouilleur qui s’est rendu sur les lieux quelques minutes après l’explosion.
Le bilan n’est pas encore disponible, mais des sources concordantes évoquent plusieurs morts. Les lieux sont actuellement bouclés par l’armée malienne et les forces internationales.
Le camp du MOC est situé vers la sortie de la ville, en direction d’Ansongo. Son démarrage effectif a suscité plusieurs remous au sein des groupes armés dont certains se sentaient exclus.
“La détonation était très forte. Au point que nos maisons en ont tremblé et l’électricité interrompue”, affirme un habitant au quartier Château.
Selon plusieurs témoins, il s’agit d’un attentat contre le camp du mécanisme opérationnel d’opération (MOC), un dispositif de l’accord de paix qui devait organiser le démarrage des patrouilles mixtes regroupant groupes armés, l’armée malienne et les forces internationales. ” C’est un kamikaze à bord d’une voiture qui à foncé sur le camp. Son corps déchiqueté est toujours devant le camp “, affirme un jeune patrouilleur qui s’est rendu sur les lieux quelques minutes après l’explosion.
Le bilan n’est pas encore disponible, mais des sources concordantes évoquent plusieurs morts. Les lieux sont actuellement bouclés par l’armée malienne et les forces internationales.
Le camp du MOC est situé vers la sortie de la ville, en direction d’Ansongo. Son démarrage effectif a suscité plusieurs remous au sein des groupes armés dont certains se sentaient exclus.
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