Reporters sans frontières (RSF), a publié, ce mardi son bilan annuel dans le monde. En 2019, d’après le recensement annuel de RSF, 49 journalistes ont été tués, 57 pris en otage et 389 détenus. C’est un total des professionnels des médias tués qui n’a jamais été aussi bas depuis 16 ans d’après le bilan.
Selon le Bilan, ce chiffre en comparaison avec la moyenne de 80 morts enregistrée ces deux dernières décennies, traduit essentiellement la baisse du nombre de journalistes tués sur les terrains de conflits armés. L’Amérique latine avec un total de 14 journalistes tués sur l’ensemble du continent, est devenue une zone aussi meurtrière pour les journalistes que le Moyen-Orient meurtri par ses conflits fratricides.
Un autre fait inquiétant relevé par le bilan de Rsf, le nombre de journalistes arbitrairement détenus dans le monde ne cesse d’augmenter avec 12% par rapport à l’an dernier. C’est en Chine que cette situation a été la plus fréquente, suivent l’Egypte et l’Arabie Saoudite.
Selon le Bilan, ce chiffre en comparaison avec la moyenne de 80 morts enregistrée ces deux dernières décennies, traduit essentiellement la baisse du nombre de journalistes tués sur les terrains de conflits armés. L’Amérique latine avec un total de 14 journalistes tués sur l’ensemble du continent, est devenue une zone aussi meurtrière pour les journalistes que le Moyen-Orient meurtri par ses conflits fratricides.
Un autre fait inquiétant relevé par le bilan de Rsf, le nombre de journalistes arbitrairement détenus dans le monde ne cesse d’augmenter avec 12% par rapport à l’an dernier. C’est en Chine que cette situation a été la plus fréquente, suivent l’Egypte et l’Arabie Saoudite.
Autres articles
-
Kédougou : les FDS renforcent les opérations de sécurité contre l'orpaillage illégal
-
Les douanes gambiennes renoncent à la hausse des droits prélevés sur le ciment sénégalais
-
Tribunal de Thiès : Il ligote son épouse avant d'introduire un tuyau dans ses parties intimes
-
Plus de 10.000 tonnes d’oignon invendues dans les Zone des Niayes
-
Retard de salaires, conditions de travail, manque de transparence dans la gestion des affaires de l’entreprise : les travailleurs du groupe de presse Emedia broient du noir