Ces résidus constituent une véritable bombe pour les consommateurs car, leur présence dans les aliments présente «des risques cancérigènes pour certaines familles d’antibiotiques, des risques allergiques, toxiques mais aussi de résistance aux traitements, pour d’autres. Par exemple, si vous êtes malade, les antibiotiques traditionnels ne pourront plus vous guérir et on voit de plus en plus de résistance aux antibiotiques au Sénégal», dit-t-il.
Il révèle que « d’après les études faites par l’Institut Paster et l’école Inter-états de médecine vétérinaire, les résultats ont montrés que 42% de la viande bovine qui est mangée au Sénégal contient des résidus d’antibiotiques ; 11,4% pour les ovins et 3% pour les poulets ».
Il ajoute que : « l’ensemble de ces études montrent que nous avons un réel problème de contamination de viande et de lait par les antibiotiques »
Poursuivant sur sa lancée, le consumériste déclare: «cela crée beaucoup de difficultés, et nous avons décidé, dans le cadre de la journée mondiale, de sensibiliser l’Etat et les différents acteurs à surveiller particulièrement les pratiques. »
Pour palier tout risque, Momar Ndao prône la mise en place d’une stratégie par l’Etat : « Il faut que l’Etat mette en place un système de contrôle permanent pour vérifier la présence des résidus d’antibiotiques dans la viande et le lait, mais aussi pour détecter les résistances bactériales. Nous voulons aussi que le circuit de médicaments soit d’avantage surveillé. Ceux qui doivent être administrés par les professionnels », a-t-il proposé.
Il révèle que « d’après les études faites par l’Institut Paster et l’école Inter-états de médecine vétérinaire, les résultats ont montrés que 42% de la viande bovine qui est mangée au Sénégal contient des résidus d’antibiotiques ; 11,4% pour les ovins et 3% pour les poulets ».
Il ajoute que : « l’ensemble de ces études montrent que nous avons un réel problème de contamination de viande et de lait par les antibiotiques »
Poursuivant sur sa lancée, le consumériste déclare: «cela crée beaucoup de difficultés, et nous avons décidé, dans le cadre de la journée mondiale, de sensibiliser l’Etat et les différents acteurs à surveiller particulièrement les pratiques. »
Pour palier tout risque, Momar Ndao prône la mise en place d’une stratégie par l’Etat : « Il faut que l’Etat mette en place un système de contrôle permanent pour vérifier la présence des résidus d’antibiotiques dans la viande et le lait, mais aussi pour détecter les résistances bactériales. Nous voulons aussi que le circuit de médicaments soit d’avantage surveillé. Ceux qui doivent être administrés par les professionnels », a-t-il proposé.
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