Jamais les libertés n’ont été aussi respectées au Sénégal qu’aujourd’hui. C’est ce qu’a servi au député Mamadou Lamine Thiam du Parti démocratique sénégalais (Pds), le ministre de l’Intérieur et de la Sécurité publique.
En effet, Abdoulaye Daouda Diallo a déclaré que sur les «740 demandes d’autorisation de marches qui ont atterri sur la table du préfet, seulement 1, 49% ont été interdites».
Revenant sur la marche du 14 octobre dernier, le ministre de l’Intérieur est d’avis que les organisateurs devaient se plier aux retouches opérées par l’autorité administrative. Ce qui aurait contribué largement à apaiser la tension.
«Dans la presque totalité des pays du monde, les itinéraires sont arrêtés et ce n’est pas dans n’importe quel itinéraire que les marches sont autorisées. Et je vous renvoie à votre cher pays la France, et vous pouvez aller le constater là-bas », raille-t-il.
Sur l’abrogation de cet arrêté, M. Diallo informe qu’elle n’est pas d’actualité. Car : «C’est vous qui aviez mis cette loi en place. Et les raisons qui ont conduit à cet arrêté sont toujours présentes, donc, il faut qu’on se penche sur la question afin de déterminer si les données ont changé ou non. Mais pour le moment, l’Etat étant une continuité, on appliquera cet arrêté jusqu’au jour où il sera rapporté »
En effet, Abdoulaye Daouda Diallo a déclaré que sur les «740 demandes d’autorisation de marches qui ont atterri sur la table du préfet, seulement 1, 49% ont été interdites».
Revenant sur la marche du 14 octobre dernier, le ministre de l’Intérieur est d’avis que les organisateurs devaient se plier aux retouches opérées par l’autorité administrative. Ce qui aurait contribué largement à apaiser la tension.
«Dans la presque totalité des pays du monde, les itinéraires sont arrêtés et ce n’est pas dans n’importe quel itinéraire que les marches sont autorisées. Et je vous renvoie à votre cher pays la France, et vous pouvez aller le constater là-bas », raille-t-il.
Sur l’abrogation de cet arrêté, M. Diallo informe qu’elle n’est pas d’actualité. Car : «C’est vous qui aviez mis cette loi en place. Et les raisons qui ont conduit à cet arrêté sont toujours présentes, donc, il faut qu’on se penche sur la question afin de déterminer si les données ont changé ou non. Mais pour le moment, l’Etat étant une continuité, on appliquera cet arrêté jusqu’au jour où il sera rapporté »
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