La polémique sur les essais cliniques soulevée depuis la sortie de Jean-Paul Mira, chef du service de réanimation de l’hôpital Cochin (Paris) qui proposait de venir en Afrique pour faire les essais concernant le Covid-19, fait toujours débat. La présidente du Comité National d’Ethique pour la Recherche en Santé (CNERS), Docteur Anta Tal Dia, s’est exprimée plus en détail sur la question, dans un entretien avec L’Observateur.
D’entrée, elle a révélé que depuis la mise en place du comité d’éthique au Sénégal, « 285 études biomédicales dont 95 essais cliniques testant des molécules et ou dispositifs médicaux ont été enregistrés ».
Professeure de classe exceptionnelle en Santé publique, Dr Dia d’expliquer : « ces essais cliniques sont composés de 35 essais cliniques à visée thérapeutique concernant l’infection au VIH, la tuberculose, le paludisme, la bilharziose, le diabète, etc. Dix essais vaccinaux sur le cancer du col de l’utérus, la tuberculose chez les personnes vivant avec le VIH, sur la maladie à virus Ebola, 49 essais cliniques à visée diagnostique sur les tests de diagnostic rapide pour le paludisme, la tuberculose, etc ».
Avant de souligner qu’: « il y a en moyenne, cinq (5) essais cliniques par an au Sénégal, depuis que le comité d’éthique fonctionne ».
Mme Dia de révéler que « le coût global des essais cliniques par an au Sénégal de 2001 à 2019 est de 28,5 milliards de F Cfa, en raison de 1,5 milliard par an ».
A en croire la Pédiatre, les participants à ces essais cliniques reçoivent des informations claires, pertinentes et complètes sur le déroulement de l’essai, en particulier sur les éventuels risques et les dispositions qui sont prises pour parer à ces risques.
S’agissant de la pandémie du Covid-9, Dr Dia a informé que les protocoles de recherches commencent à arriver au CNERS sur d’autres thèmes que la vaccination.
Elle a tenu à préciser que « des essais cliniques bien conduits, menés de façon rigoureuse, ont permis de mettre à disposition des médicaments efficaces contre l’infection à VIH, les Hépatites, ect ».
D’entrée, elle a révélé que depuis la mise en place du comité d’éthique au Sénégal, « 285 études biomédicales dont 95 essais cliniques testant des molécules et ou dispositifs médicaux ont été enregistrés ».
Professeure de classe exceptionnelle en Santé publique, Dr Dia d’expliquer : « ces essais cliniques sont composés de 35 essais cliniques à visée thérapeutique concernant l’infection au VIH, la tuberculose, le paludisme, la bilharziose, le diabète, etc. Dix essais vaccinaux sur le cancer du col de l’utérus, la tuberculose chez les personnes vivant avec le VIH, sur la maladie à virus Ebola, 49 essais cliniques à visée diagnostique sur les tests de diagnostic rapide pour le paludisme, la tuberculose, etc ».
Avant de souligner qu’: « il y a en moyenne, cinq (5) essais cliniques par an au Sénégal, depuis que le comité d’éthique fonctionne ».
Mme Dia de révéler que « le coût global des essais cliniques par an au Sénégal de 2001 à 2019 est de 28,5 milliards de F Cfa, en raison de 1,5 milliard par an ».
A en croire la Pédiatre, les participants à ces essais cliniques reçoivent des informations claires, pertinentes et complètes sur le déroulement de l’essai, en particulier sur les éventuels risques et les dispositions qui sont prises pour parer à ces risques.
S’agissant de la pandémie du Covid-9, Dr Dia a informé que les protocoles de recherches commencent à arriver au CNERS sur d’autres thèmes que la vaccination.
Elle a tenu à préciser que « des essais cliniques bien conduits, menés de façon rigoureuse, ont permis de mettre à disposition des médicaments efficaces contre l’infection à VIH, les Hépatites, ect ».
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