Ce choix porté sur le cabinet Mc Kinsey a soulevé beaucoup de bruits qui ont suscité une explication d’Abdou Latif Coulibaly. Ainsi ce dernier a expliqué que « ce cabinet a une très grande expérience en matière d’élaboration d’un travail de cette nature là. Il a un label, une signature qui est reconnue et crédible à travers le monde ». Le ministre de faire part de l’objectif de ce cabinet: « Ce document a pour objectif d’assurer le décollage du Sénégal à l’horizon 2023.
Par conséquent, des fonds importants sont mobilisés à travers la communauté financière internationale, les partenaires au développement, les privés et autres sources de financements. En outre pour aller vers ces sources de financement, il faut leur présenter un document suffisamment crédible, un document signé par une signature authentifiée au plan international».
Par ailleurs Abdou Latif Coulibaly a précisé les conditions dans lesquelles le plan a été signé. « Un Etat africain a déboursé un peu plus de 4 milliards de F CFA pour avoir le même document que nous avons élaboré au Sénégal, et qui nous a coûté moins de 3 milliards de F CFA. Ce travail a été fait en relation directe avec l’administration sénégalaise et avec l’appui et le concours d’un groupe de patriotes sénégalais très impliqués, très préoccupés par les questions de développement du Sénégal».
Cependant, le porte parole du gouvernement n’a pas manqué de préciser les résultats attendus du plan « Sénégal émergent ». « Il est important de savoir en résumé que ce plan devrait au moins multiplier le PIB du Sénégal par 50 d’ici 2023, assurer un taux de croissance de l’ordre de 7, 8 à 8%, procurer à notre pays plus d’un million d’emplois et développer six (6) secteurs essentiels. Je citerai entre autres : l’agriculture, les mines, le tourisme. Et assurer a notre pays une production énergétique de l’ordre de 1000 méga watts/jours, combinés à l’existant actuel » a-t-il expliqué.
Par conséquent, des fonds importants sont mobilisés à travers la communauté financière internationale, les partenaires au développement, les privés et autres sources de financements. En outre pour aller vers ces sources de financement, il faut leur présenter un document suffisamment crédible, un document signé par une signature authentifiée au plan international».
Par ailleurs Abdou Latif Coulibaly a précisé les conditions dans lesquelles le plan a été signé. « Un Etat africain a déboursé un peu plus de 4 milliards de F CFA pour avoir le même document que nous avons élaboré au Sénégal, et qui nous a coûté moins de 3 milliards de F CFA. Ce travail a été fait en relation directe avec l’administration sénégalaise et avec l’appui et le concours d’un groupe de patriotes sénégalais très impliqués, très préoccupés par les questions de développement du Sénégal».
Cependant, le porte parole du gouvernement n’a pas manqué de préciser les résultats attendus du plan « Sénégal émergent ». « Il est important de savoir en résumé que ce plan devrait au moins multiplier le PIB du Sénégal par 50 d’ici 2023, assurer un taux de croissance de l’ordre de 7, 8 à 8%, procurer à notre pays plus d’un million d’emplois et développer six (6) secteurs essentiels. Je citerai entre autres : l’agriculture, les mines, le tourisme. Et assurer a notre pays une production énergétique de l’ordre de 1000 méga watts/jours, combinés à l’existant actuel » a-t-il expliqué.
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