La transmission interhumaine du « 2019-nCov » - le nom de code de ce coronavirus - serait à l’origine d’au moins un cas confirmé à Wuhan, mais aussi dans deux foyers de la province méridionale du Guangdong. C’est en tous ce cas ce qu’affirme Zhong Nanshan, directeur d’un laboratoire d’État et découvreur du Sras (syndrome respiratoire aigu sévère) en février 2003. Des cas ont aussi été détectés dans les grandes villes, comme Pékin et Shanghai, ainsi qu'à l'étranger, au Japon, en Thaïlande et en Corée du Sud.
Quinze contaminations parmi le personnel médical
Une confirmation qui intervient alors qu’une quinzaine de personnels médicaux de la ville épicentre du séisme présentent aujourd’hui des symptômes de la maladie (forte fièvre, toux et difficultés à respirer). De quoi inquiéter quand on sait que de lourdes précautions ont été prises dans les hôpitaux où se trouvent les patients affectés.
Quinze contaminations parmi le personnel médical
Une confirmation qui intervient alors qu’une quinzaine de personnels médicaux de la ville épicentre du séisme présentent aujourd’hui des symptômes de la maladie (forte fièvre, toux et difficultés à respirer). De quoi inquiéter quand on sait que de lourdes précautions ont été prises dans les hôpitaux où se trouvent les patients affectés.
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