A en croire ses proches, c’est sur l’air du « Vous allez voir ce que vous allez voir » qu’Abdoulaye Wade annonce son retour à Dakar. Selon eux, l’ancien chef d’Etat rentre pour être aux côtés de son fils Karim, qui doit être auditionné par la gendarmerie ce jeudi dans le cadre d’une enquête sur un possible enrichissement illicite.
Cité dans la presse locale, l’ancien président affirme : « C’est à moi que Macky devait s’en prendre, et non à Karim. C’est moi qui ai offert à Karim, avec mes fonds politiques, une partie de sa fortune, comme je l’ai fait pour Macky Sall et tant d’autres… »
Pour Me Amadou Sall, du PDS, ces procédures ne relèvent ni plus ni moins que du « harcèlement et de l’intimidation ». Au terme de « grand déballage », il préfère parler d’« information du public » et annonce des manifestations, qu’elles soient autorisées ou non. « On ne va pas se laisser faire », précise l’ancien ministre de la Justice d’Abdoulaye Wade.
« Ces gesticulations et ces menaces nous laisse dans une indifférence minérale », répond Abou Abel Thiam, le porte-parole du président Macky Sall. « L’Etat va continuer à faire son travail. » Et d’ajouter : « Si des dignitaires de l’ancien régime ont commis des forfaits, ils en rendront compte devant la justice. »
Source: RFI
Cité dans la presse locale, l’ancien président affirme : « C’est à moi que Macky devait s’en prendre, et non à Karim. C’est moi qui ai offert à Karim, avec mes fonds politiques, une partie de sa fortune, comme je l’ai fait pour Macky Sall et tant d’autres… »
Pour Me Amadou Sall, du PDS, ces procédures ne relèvent ni plus ni moins que du « harcèlement et de l’intimidation ». Au terme de « grand déballage », il préfère parler d’« information du public » et annonce des manifestations, qu’elles soient autorisées ou non. « On ne va pas se laisser faire », précise l’ancien ministre de la Justice d’Abdoulaye Wade.
« Ces gesticulations et ces menaces nous laisse dans une indifférence minérale », répond Abou Abel Thiam, le porte-parole du président Macky Sall. « L’Etat va continuer à faire son travail. » Et d’ajouter : « Si des dignitaires de l’ancien régime ont commis des forfaits, ils en rendront compte devant la justice. »
Source: RFI
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