Pour faire face à une météo capricieuse, des chapiteaux ont été dressés devant le monument de l’Indépendance de Bamako. Plutôt déterminé, le public bon enfant est d’abord venu soutenir son armée : « J’ai laissé mon voyage pour aller à Kayes pour venir sous la pluie soutenir l’armée malienne. »
« Vive l’armée malienne », « Respect à ceux qui sont tombés au front », pouvait-on également lire sur des calicots et des banderoles. Très rapidement, c’est le thème de la corruption au sein de l’armée qui prend le dessus : « C’est notre devoir en tant que citoyen de venir dénoncer parce qu’il y a énormément d’impacts de la corruption sur l’armée malienne. »
« Il faut juger les coupables »
Le principal organisateur du meeting, membre de la Plateforme contre la corruption et le chômage, parle de l’affaire des hélicoptères de l’armée cloués au sol à cause « des détournements de fonds » lors de l’achat des appareils et demande que les coupables soient présentés devant la justice. Clément Dembélé : « Aujourd’hui, il faut juger les coupables parce que les coupables sont connus. Les gens qui ont négocié, les gens qui ont apporté l’argent, les gens qui ont justifié que ces avions sont fiables, ces gens sont connus au Mali. Ce sont des Maliens. »
Un autre manifestant interpelle le président de la République : « On n’a plus besoin de faire l’enquête. On veut qu’il arrête les coupables. »
« Vive l’armée malienne », « Respect à ceux qui sont tombés au front », pouvait-on également lire sur des calicots et des banderoles. Très rapidement, c’est le thème de la corruption au sein de l’armée qui prend le dessus : « C’est notre devoir en tant que citoyen de venir dénoncer parce qu’il y a énormément d’impacts de la corruption sur l’armée malienne. »
« Il faut juger les coupables »
Le principal organisateur du meeting, membre de la Plateforme contre la corruption et le chômage, parle de l’affaire des hélicoptères de l’armée cloués au sol à cause « des détournements de fonds » lors de l’achat des appareils et demande que les coupables soient présentés devant la justice. Clément Dembélé : « Aujourd’hui, il faut juger les coupables parce que les coupables sont connus. Les gens qui ont négocié, les gens qui ont apporté l’argent, les gens qui ont justifié que ces avions sont fiables, ces gens sont connus au Mali. Ce sont des Maliens. »
Un autre manifestant interpelle le président de la République : « On n’a plus besoin de faire l’enquête. On veut qu’il arrête les coupables. »
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