La Cour de cassation se saisit de l’affaire de détournement de fonds publics, recel et blanchiment qui vise Guillaume Soro et certains de ses proches.
Saisie par le ministère public, la Cour de cassation a nommé l’un de ses membres afin de mener l’instruction dans le dossier de détournement de deniers publics, recel et blanchiment portant sur l’achat par Guillaume Soro de sa maison de Marcory.
En tant qu’ancien Premier ministre et ancien président d’institution Guillaume Soro, et de fait ses coaccusés aussi, bénéficient de procédures spéciales. Procédure ignorée par le procureur Richard Adou qui a lancé les poursuites fin décembre et saisi un juge d’instruction contrairement à la loi, estiment les avocats de Guillaume Soro et ses proches.
« Par cette décision, la Cour de cassation vient de nous donner mille fois raison, estime Maître Souleymane Diallo. Du début de cette affaire jusqu’à ce jour, nous avons toujours clamé l’illégalité, l’inconstitutionnalité des poursuites qui ont été engagées contre notre client et ses proches, pour non-respect de la loi. »
Selon la défense, une autorisation préalable de l’Assemblée nationale est également nécessaire pour poursuivre Guillaume Soro et ses proches. Vendredi, le ministère public n’a pas mentionné le dossier de tentative d’atteinte à l’autorité de l’État dont on ignore s’il fera ou non l’objet d’une autre saisine de la Cour de cassation.
Saisie par le ministère public, la Cour de cassation a nommé l’un de ses membres afin de mener l’instruction dans le dossier de détournement de deniers publics, recel et blanchiment portant sur l’achat par Guillaume Soro de sa maison de Marcory.
En tant qu’ancien Premier ministre et ancien président d’institution Guillaume Soro, et de fait ses coaccusés aussi, bénéficient de procédures spéciales. Procédure ignorée par le procureur Richard Adou qui a lancé les poursuites fin décembre et saisi un juge d’instruction contrairement à la loi, estiment les avocats de Guillaume Soro et ses proches.
« Par cette décision, la Cour de cassation vient de nous donner mille fois raison, estime Maître Souleymane Diallo. Du début de cette affaire jusqu’à ce jour, nous avons toujours clamé l’illégalité, l’inconstitutionnalité des poursuites qui ont été engagées contre notre client et ses proches, pour non-respect de la loi. »
Selon la défense, une autorisation préalable de l’Assemblée nationale est également nécessaire pour poursuivre Guillaume Soro et ses proches. Vendredi, le ministère public n’a pas mentionné le dossier de tentative d’atteinte à l’autorité de l’État dont on ignore s’il fera ou non l’objet d’une autre saisine de la Cour de cassation.
Autres articles
-
Un ancien rebelle révèle l'interaction secrète des États-Unis avec des groupes armés en RCA
-
Au moins un mort et 16 blessés en Ukraine dans une frappe russe sur Kharkiv
-
Haïti: plus de 170 Français et 70 étrangers évacués par la France
-
États-Unis: un fils d'ex-président de la Guinée-Bissau condamné pour trafic de drogue
-
Jeûne mortel au Kenya: un an après, les premiers corps des victimes remis à leurs proche