L'étendue de la zone de pêche est devenue un indicateur des relations entre le Hamas et Israël. Début avril, l'armée israélienne a autorisé les pêcheurs gazaouïs à se rendre jusqu'à 15 milles marins des côtes, contre six auparavant. Un assouplissement du blocus imposé à l'enclave palestinienne qui reconnaissait la volonté du Hamas de modérer les frictions avec Israël.
Ces dernières semaines, l'étendue de la zone de pêche a fluctué : elle était ramenée à 10 ou 6 milles marins lorsque des ballons équipés de cocktails Molotov étaient lancés vers le territoire israélien. Sa fermeture complète, qui restait néanmoins rare, est le signe de tensions avivées. Mercredi, deux heures après l'annonce de la fermeture de la zone, une roquette a été tirée depuis l'enclave palestinienne, interceptée par le bouclier anti-missiles. En réponse, l'aviation israélienne a bombardé « des infrastructures souterraines » du Hamas.
Ces tensions sont les plus fortes depuis la dernière confrontation armée début mai. Ces derniers jours, plusieurs incendies ont été déclenchés du côté israélien de la barrière de séparation par des ballons incendiaires venus de Gaza. Israël veut contraindre le Hamas à faire cesser ces envois. Mais le mouvement islamiste, lui, considère que le gouvernement israélien n'applique pas l'ensemble des mesures incluses dans le cessez-le-feu signé le mois dernier.
Ces dernières semaines, l'étendue de la zone de pêche a fluctué : elle était ramenée à 10 ou 6 milles marins lorsque des ballons équipés de cocktails Molotov étaient lancés vers le territoire israélien. Sa fermeture complète, qui restait néanmoins rare, est le signe de tensions avivées. Mercredi, deux heures après l'annonce de la fermeture de la zone, une roquette a été tirée depuis l'enclave palestinienne, interceptée par le bouclier anti-missiles. En réponse, l'aviation israélienne a bombardé « des infrastructures souterraines » du Hamas.
Ces tensions sont les plus fortes depuis la dernière confrontation armée début mai. Ces derniers jours, plusieurs incendies ont été déclenchés du côté israélien de la barrière de séparation par des ballons incendiaires venus de Gaza. Israël veut contraindre le Hamas à faire cesser ces envois. Mais le mouvement islamiste, lui, considère que le gouvernement israélien n'applique pas l'ensemble des mesures incluses dans le cessez-le-feu signé le mois dernier.
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