Les rebelles tchadiens ont ainsi réagi à la condamnation des deux responsables du CCMSR qui ont comparu mercredi et jeudi 6 juin devant une Cour criminelle, à N'Djamena, pour avoir participé à « des mouvements insurrectionnels », a annoncé le procureur. Ils ont écopé de la prison à vie. Joint par RFI, Mohamad Ali, président de l'UMDD dénonce non seulement les mauvais traitements qui ont été infligés aux captifs pendant leur détention mais aussi le déni de justice qu'aurait représenté, d'après lui, le procès des deux hommes.
« Nous sommes profondément bouleversé par le verdict. Ce n’est pas un jugement équitable. L’avocat des deux accusés n’a pas accès au dossier. Pour nous, la justice est prise en otage par Idriss Déby »
« Nous sommes profondément bouleversé par le verdict. Ce n’est pas un jugement équitable. L’avocat des deux accusés n’a pas accès au dossier. Pour nous, la justice est prise en otage par Idriss Déby »
Autres articles
-
Un ancien rebelle révèle l'interaction secrète des États-Unis avec des groupes armés en RCA
-
Au moins un mort et 16 blessés en Ukraine dans une frappe russe sur Kharkiv
-
Haïti: plus de 170 Français et 70 étrangers évacués par la France
-
États-Unis: un fils d'ex-président de la Guinée-Bissau condamné pour trafic de drogue
-
Jeûne mortel au Kenya: un an après, les premiers corps des victimes remis à leurs proche