Pas de déclaration conjointe, pas d’accord de façade, pas même de poignée de main. La douche froide est à la hauteur des attentes à Hanoi. Forêt de mains levées lorsque Donald Trump répond journalistes.
« Nous avions plusieurs options, mais à ce stade nous avons décidé de n’en suivre aucune. Nous verrons où ça nous mènera, mais parfois il faut quitter la table, a affirmé le président américain. En gros ils voulaient que les sanctions soient levées, entièrement levées, et nous ne pouvions pas faire ça. Ils étaient d’accord pour dénucléariser de larges portions de la zone qui nous intéresse, mais nous ne pouvions pas abandonner toutes les sanctions pour ça. »
Ces deux jours n’ont pas permis d’arriver à un texte commun, même a minima comme à Singapour. Pas de déclaration conjointe, c’est évidemment un échec cuisant pour Donald Trump, écrit notre envoyé spécial à Hanoï, Stéphane Lagarde. Le président américain précise toutefois que les négociations vont se poursuivre et que sa relation avec Kim Jong-un reste chaleureuse.
Surréaliste
Et à la question de savoir si le leader nord-coréen comptait participer à la dénucléarisation de la péninsule, il a répondu : « Si je n’avais pas l’intention de le faire, je ne serai pas là ». Un semblant d'optimisme régnait encore.
« Nous avions plusieurs options, mais à ce stade nous avons décidé de n’en suivre aucune. Nous verrons où ça nous mènera, mais parfois il faut quitter la table, a affirmé le président américain. En gros ils voulaient que les sanctions soient levées, entièrement levées, et nous ne pouvions pas faire ça. Ils étaient d’accord pour dénucléariser de larges portions de la zone qui nous intéresse, mais nous ne pouvions pas abandonner toutes les sanctions pour ça. »
Ces deux jours n’ont pas permis d’arriver à un texte commun, même a minima comme à Singapour. Pas de déclaration conjointe, c’est évidemment un échec cuisant pour Donald Trump, écrit notre envoyé spécial à Hanoï, Stéphane Lagarde. Le président américain précise toutefois que les négociations vont se poursuivre et que sa relation avec Kim Jong-un reste chaleureuse.
Surréaliste
On avait pourtant assisté à une scène encourageante et même presque surréaliste ce jeudi matin en introduction des discussions. Donald Trump répondait aux journalistes comme il le fait d’habitude et faisant d’une certaine manière « parapluie » pour son interlocuteur.
« S’il vous plaît, n’élevez pas la voix, vous n’avez pas affaire à Trump », a plaisanté le président américain quand les journalistes se sont adressés à Kim Jong-un. Et là surprise… Kim Jong-un a pris la parole. C’était la première fois qu’il répondait à des journalistes étrangers. Et à la question de savoir si le leader nord-coréen comptait participer à la dénucléarisation de la péninsule, il a répondu : « Si je n’avais pas l’intention de le faire, je ne serai pas là ». Un semblant d'optimisme régnait encore.
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