Sheikh Alassane Sène sent un grand danger guetter le Sénégal. Ce mardi 17 avril à 48 heures du grand rassemblement de l'opposition et des "forces vives de la Nation" devant l'assemblé nationale, le candidat à la prochaine Présidentielle de 2019 a écrit un télex au chef de l'Etat Macky Sall, le suppliant presque de surseoir à son projet de loi sur le parrainage.
"En ma qualité de conciliateur, je vous demande au nom du préambule de la Constitution, des valeurs culturelles qui nous lient et du respect des dispositions de notre charte fondamentale, de :
1- sursoir au vote du projet de loi prévu ce jeudi 19 Avril à l’Assemblée Nationale à une date sine die
2- d’inviter les leaders de l’opposition, de la société civile et des mouvements citoyens le plus tôt possible à un dialogue sincère autour du processus électoral", écrit-il dans un document signé de son nom, qui est parvenu à la rédaction de Pressafrik.
Sheikh Alassane Sène est allé jusqu'à caresser le Président dans le sens du poil pour lui expliquer comment renoncement ne ferait que le grandir. "Les sénégalais ont peur de voir ce jeudi les choses dégénérer et s’embraser, la force de la loi ne doit ni indigner le peuple ni provoquer sa colère. À vous alors de trancher, dans un virage si étroit. Evitez-nous l’embuscade et cela ne fera que vous grandir", dit-il.
"En ma qualité de conciliateur, je vous demande au nom du préambule de la Constitution, des valeurs culturelles qui nous lient et du respect des dispositions de notre charte fondamentale, de :
1- sursoir au vote du projet de loi prévu ce jeudi 19 Avril à l’Assemblée Nationale à une date sine die
2- d’inviter les leaders de l’opposition, de la société civile et des mouvements citoyens le plus tôt possible à un dialogue sincère autour du processus électoral", écrit-il dans un document signé de son nom, qui est parvenu à la rédaction de Pressafrik.
Sheikh Alassane Sène est allé jusqu'à caresser le Président dans le sens du poil pour lui expliquer comment renoncement ne ferait que le grandir. "Les sénégalais ont peur de voir ce jeudi les choses dégénérer et s’embraser, la force de la loi ne doit ni indigner le peuple ni provoquer sa colère. À vous alors de trancher, dans un virage si étroit. Evitez-nous l’embuscade et cela ne fera que vous grandir", dit-il.
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