Si le Pds veut aller à l’élection présidentielle, «il faut qu’on pense à un plan B. On ne peut pas continuer à dire : «Karim ou rien ». Karim est déjà notre candidat mais puisqu’il y a des obstacles que le régime actuel est en train de dresser, il faut penser à contourner ces écueils», a avancé le responsable du Pds de Nioro.
Bassirou Kébé est d’avis que c’est «cette situation qui a fait qu’aujourd’hui, beaucoup de responsables du Pds sont en train de créer des mouvements, non pas parce qu’ils veulent rejoindre la mouvance présidentielle, mais parce qu’ils ne sont pas écoutés, leur point de vue n’est pas pris en compte».
«Malheureusement, a-t-il déploré, c’est la réalité au Pds. Ce que nous constatons, c’est qu’il faut être Karimiste pour qu’on vous écoute, qu’on prenne en compte vos points de vue et qu’on vous responsabilise».
Dans un entretien avec "l’Observateur", le responsable politique de souligner que : «le Pds est le seul parti au Sénégal qui tient de façon permanente et régulière, ses rencontres du Bureau politique».
Mais, a-t-il martelé, «cette démocratie, elle est là, tant qu’on va vers la volonté voulue par le candidat du Pds, tant qu’on dit du bien de Karim Wade, qu’on le critique pas, qu’on le caresse dans le sens du poil».
Partant de ce constat, il a informé qu'il y a deux types de libéraux ayant quitté le navire après la chute de Wade. Ceux qui sont partis «par ingratitude, par manque de reconnaissance» et ceux qui ont claqué la porte «parce qu’ils n’ont plus d’espace pour s’exprimer, pour dialoguer», a-t-il listé.
Bassirou Kébé est d’avis que c’est «cette situation qui a fait qu’aujourd’hui, beaucoup de responsables du Pds sont en train de créer des mouvements, non pas parce qu’ils veulent rejoindre la mouvance présidentielle, mais parce qu’ils ne sont pas écoutés, leur point de vue n’est pas pris en compte».
«Malheureusement, a-t-il déploré, c’est la réalité au Pds. Ce que nous constatons, c’est qu’il faut être Karimiste pour qu’on vous écoute, qu’on prenne en compte vos points de vue et qu’on vous responsabilise».
Dans un entretien avec "l’Observateur", le responsable politique de souligner que : «le Pds est le seul parti au Sénégal qui tient de façon permanente et régulière, ses rencontres du Bureau politique».
Mais, a-t-il martelé, «cette démocratie, elle est là, tant qu’on va vers la volonté voulue par le candidat du Pds, tant qu’on dit du bien de Karim Wade, qu’on le critique pas, qu’on le caresse dans le sens du poil».
Partant de ce constat, il a informé qu'il y a deux types de libéraux ayant quitté le navire après la chute de Wade. Ceux qui sont partis «par ingratitude, par manque de reconnaissance» et ceux qui ont claqué la porte «parce qu’ils n’ont plus d’espace pour s’exprimer, pour dialoguer», a-t-il listé.