Le 6 février dernier les chefs d'Etat du Burkina, du Tchad, du Mali, du Niger et de la Mauritanie, c'étaient mis d'accord pour la mise en place de cette force.
Le 13 avril dernier, c'est l'union africaine qui a donné son feu vert pour la mise en place de la force.
La prochaine étape sera un mandant du conseil de sécurité de l'ONU.
Pour l'instant les questions de budget et de logistique pour soutenir la force sont toujours en cours de finalisation même si l'union européenne a déjà annoncé son appui.
Le contexte sécuritaire difficile pour beaucoup de pays sahéliens, le Mali en particulier explique la rapidité avec laquelle avance le processus de mise en place de force conjointe du G5 sahel.
En juin prochain, une autre réunion entre le G5 Sahel et l'union européenne se tiendra à Bamako sur les questions de sécurité, de développement et d'immigration.
Le 13 avril dernier, c'est l'union africaine qui a donné son feu vert pour la mise en place de la force.
La prochaine étape sera un mandant du conseil de sécurité de l'ONU.
Pour l'instant les questions de budget et de logistique pour soutenir la force sont toujours en cours de finalisation même si l'union européenne a déjà annoncé son appui.
Le contexte sécuritaire difficile pour beaucoup de pays sahéliens, le Mali en particulier explique la rapidité avec laquelle avance le processus de mise en place de force conjointe du G5 sahel.
En juin prochain, une autre réunion entre le G5 Sahel et l'union européenne se tiendra à Bamako sur les questions de sécurité, de développement et d'immigration.
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