À trois mois de la Coupe du Monde au Qatar, le Sénégal garde un œil sur ce tournoi qui s’annonce riche en rebondissements. Taulier de l’équipe nationale du Sénégal qui a glané son premier trophée de la CAN en février dernier, Abdou Diallo est impatient à l’idée de disputer sa deuxième grande compétition avec les « Lions ».
Le défenseur du Paris Saint-Germain espère briser de nouveau «un plafond de verre» pour cette troisième Coupe du monde de l’histoire du Sénégal, afin de marquer l’histoire d’un continent africain, dont aucun de ses représentants n’a atteint le dernier carré d’un Mondial.
«Même si nous ne pouvons pas voir l’avenir, vous devez être convaincu que vous pouvez certainement y parvenir. Nous avons également eu un plafond de verre lors de la finale de la Coupe d’Afrique des Nations et nous l’avons brisé, donc mon rêve est d’en briser un autre. Si nous y parvenons, je serai le plus heureux. Il n’y a pas de complexes. Si nous n’y parvenons pas, nous n’y parviendrons pas, mais vous devez accepter cette pression, car cela signifie que nous faisons du bon travail», assure Abdou Diallo sur BBC Sport Africa.
Le défenseur du Paris Saint-Germain espère briser de nouveau «un plafond de verre» pour cette troisième Coupe du monde de l’histoire du Sénégal, afin de marquer l’histoire d’un continent africain, dont aucun de ses représentants n’a atteint le dernier carré d’un Mondial.
«Même si nous ne pouvons pas voir l’avenir, vous devez être convaincu que vous pouvez certainement y parvenir. Nous avons également eu un plafond de verre lors de la finale de la Coupe d’Afrique des Nations et nous l’avons brisé, donc mon rêve est d’en briser un autre. Si nous y parvenons, je serai le plus heureux. Il n’y a pas de complexes. Si nous n’y parvenons pas, nous n’y parviendrons pas, mais vous devez accepter cette pression, car cela signifie que nous faisons du bon travail», assure Abdou Diallo sur BBC Sport Africa.