Après la CAN 2002, Ferdinand Coly décide de se mettre en marge du football pour se verser dans le business. Entre autres, la transformation de produits de mer. Malheureusement cette activité qui d’après lui l'a passionné pendant quelques années, lui donne aujourd’hui l’envie de gerber.
«J’ai porté plainte pour abus de biens sociaux contre mon coassocié et gérant des sociétés de transformation de produits de mer», informe l’ancien footballeur sénégalais qui soutient que son associé : «a volé les fonds de l’usine, d’un montant très important».
En effet, «Monsieur Saliou Samb m’avait approché, en 2009, pour investir dans le secteur et relancer les activités de ses sociétés en faillite, tout en créant une autre société dite Blue Trade», déclare-t-il dans "l'Observateur" en soutenant que : «les parts sociales de chacun étaient ainsi réparties : 34% pour Saliou Samb, 33% pour moi et 33% pour Mamadou Niang, ancien international sénégalais de football».
Et de poursuivre, « ça fait quatre (4) ans qu’on essaie de négocier. Et, avant d’en arriver là, j’ai fait le tour des autorités étatiques, et malheureusement, aucune réaction. Maintenant, il faut aller au combat».
Des accusations qui n'ont pas laissé Saliou Samb indifférent Interpellé sur la question, il déclare qu': « il n’y a pas d’escroquerie, c’est un business qui n’a pas marché». «Je suis d’accord, le préjudice est réel. On a perdu de l’argent, lui et moi. Je ne peux pas, sur un commerce qui nous concerne tous, rembourser les pertes», fulmine-t-il. Avant d’ajouter : «il a porté plainte et j’ai donné toutes les preuves à la justice. Il sait bien qu’il n’y a pas de problèmes d’escroquerie, mais ce sont les affaire qui n’ont pas marché. et, il a promis d’utiliser les médias pour me salir».
«J’ai porté plainte pour abus de biens sociaux contre mon coassocié et gérant des sociétés de transformation de produits de mer», informe l’ancien footballeur sénégalais qui soutient que son associé : «a volé les fonds de l’usine, d’un montant très important».
En effet, «Monsieur Saliou Samb m’avait approché, en 2009, pour investir dans le secteur et relancer les activités de ses sociétés en faillite, tout en créant une autre société dite Blue Trade», déclare-t-il dans "l'Observateur" en soutenant que : «les parts sociales de chacun étaient ainsi réparties : 34% pour Saliou Samb, 33% pour moi et 33% pour Mamadou Niang, ancien international sénégalais de football».
Et de poursuivre, « ça fait quatre (4) ans qu’on essaie de négocier. Et, avant d’en arriver là, j’ai fait le tour des autorités étatiques, et malheureusement, aucune réaction. Maintenant, il faut aller au combat».
Des accusations qui n'ont pas laissé Saliou Samb indifférent Interpellé sur la question, il déclare qu': « il n’y a pas d’escroquerie, c’est un business qui n’a pas marché». «Je suis d’accord, le préjudice est réel. On a perdu de l’argent, lui et moi. Je ne peux pas, sur un commerce qui nous concerne tous, rembourser les pertes», fulmine-t-il. Avant d’ajouter : «il a porté plainte et j’ai donné toutes les preuves à la justice. Il sait bien qu’il n’y a pas de problèmes d’escroquerie, mais ce sont les affaire qui n’ont pas marché. et, il a promis d’utiliser les médias pour me salir».