Aziz Ndiaye, son père et son frère ont du grain à moudre car le juge du deuxième cabinet Yakham Lèye a bouclé son instruction concernant le dossier sur l'affaire de détournement de riz. Maintenant la balle est maintenant dans le camp du parquet chargé d’enrôler le dossier pour jugement.
Toutefois, le promoteur de lutte Aziz Ndiaye, son père et son frère risquent d’être jugés sans le quatrième acolyte, le transporteur malien Abdou Konté dont le mandat d’arrêt est resté infructueux. Ce dernier était mandaté pour convoyer au Mali du riz d’une valeur de 100 millions pour le compte du commerçant Mamadou Kébé. La marchandise s’était retrouvée curieusement dans les locaux de la société du promoteur de lutte "Aziz Business Company" (ABC) qui s’active dans le commerce, le transport, l’import, l’export et l’événementiel. C’est la raison pour laquelle le juge avait inculpé Aziz Ndiaye et son père.
Mais, ils n’ont pas été placés sous mandat de dépôt. Ils étaient plutôt placés sous contrôle judiciaire contrairement à Massata qui avait passé des mois en prison avant d’être libéré provisoirement par la Chambre d’accusation.
Pour rappel, le juge Yakham Lèye avait lancé un mandat d’arrêt contre le Malien car en poussant ses investigations, il avait découvert des éléments à charge contre le transporteur Konté. Une délégation judiciaire avait été faite à la Section de recherches, surtout que la Division des investigations criminelles (DIC) a joint dans le dossier un procès-verbal de recherches infructueuses.
Cependant les inculpés ont toujours contesté les faits. Lors de son audition au fond, Aziz Ndiaye avait déclaré qu’il ignorait même que le riz était stocké dans leur magasin. Son père Baye Allé Ndiaye a lui aussi soutenu qu’il ignorait l’origine illicite du riz et qu’il ne pouvait en douter, dans la mesure où le riz a été déchargé en plein jour et Massata lui a présenté des factures.
Quant à l’autre frère en l’occurrence Massata Ndiaye, son argument de défense consiste à dire qu’il n’avait pas acheté à un prix dérisoire, car son bénéfice s’est chiffré à 500 francs par sac de riz. A l’enquête, il aurait reconnu avoir acheté 84 tonnes de riz à 21 millions de francs CFA. D’ailleurs lors de sa mise en liberté provisoire, il s’était engagé à rembourser la partie civile.
Toutefois, le promoteur de lutte Aziz Ndiaye, son père et son frère risquent d’être jugés sans le quatrième acolyte, le transporteur malien Abdou Konté dont le mandat d’arrêt est resté infructueux. Ce dernier était mandaté pour convoyer au Mali du riz d’une valeur de 100 millions pour le compte du commerçant Mamadou Kébé. La marchandise s’était retrouvée curieusement dans les locaux de la société du promoteur de lutte "Aziz Business Company" (ABC) qui s’active dans le commerce, le transport, l’import, l’export et l’événementiel. C’est la raison pour laquelle le juge avait inculpé Aziz Ndiaye et son père.
Mais, ils n’ont pas été placés sous mandat de dépôt. Ils étaient plutôt placés sous contrôle judiciaire contrairement à Massata qui avait passé des mois en prison avant d’être libéré provisoirement par la Chambre d’accusation.
Pour rappel, le juge Yakham Lèye avait lancé un mandat d’arrêt contre le Malien car en poussant ses investigations, il avait découvert des éléments à charge contre le transporteur Konté. Une délégation judiciaire avait été faite à la Section de recherches, surtout que la Division des investigations criminelles (DIC) a joint dans le dossier un procès-verbal de recherches infructueuses.
Cependant les inculpés ont toujours contesté les faits. Lors de son audition au fond, Aziz Ndiaye avait déclaré qu’il ignorait même que le riz était stocké dans leur magasin. Son père Baye Allé Ndiaye a lui aussi soutenu qu’il ignorait l’origine illicite du riz et qu’il ne pouvait en douter, dans la mesure où le riz a été déchargé en plein jour et Massata lui a présenté des factures.
Quant à l’autre frère en l’occurrence Massata Ndiaye, son argument de défense consiste à dire qu’il n’avait pas acheté à un prix dérisoire, car son bénéfice s’est chiffré à 500 francs par sac de riz. A l’enquête, il aurait reconnu avoir acheté 84 tonnes de riz à 21 millions de francs CFA. D’ailleurs lors de sa mise en liberté provisoire, il s’était engagé à rembourser la partie civile.