Cité dans une scabreuse affaire de rétro-commissions, Cheikh Amar peut pousser un ouf de soulager. En effet, le Président-directeur général de Amar Holding avait saisi le Parquet spécial de la Cour de répression et de l’enrichissement illicite (Crei) d’une correspondance, pour avoir le cœur net.
En réponse, le Parquet général, en lettre datant du 19 octobre 2017, a révélé à Cheikh Amar que : «les procédures en instance à la Crei sont en phase de clôture et ne lui concernent ni directement ni indirectement».
En réponse, le Parquet général, en lettre datant du 19 octobre 2017, a révélé à Cheikh Amar que : «les procédures en instance à la Crei sont en phase de clôture et ne lui concernent ni directement ni indirectement».