Dans une interview accordée à E-média, le sélectionneur du Sénégal a évoqué les binationaux qui pourraient venir en l’équipe nationale. Aliou Cissé veut renforcer son équipe dans les zones où il y’a des manquements. Il a évoqué le nom de quelques joueurs, qui ont des profils intéressants.
«Forcément, quand vous voyez le niveau où l’équipe est, je peux comprendre que d’autres garçons aient envie d’intégrer l’équipe nationale. Mais il ne faut pas oublier que ceux qui sont là ont fait une grosse performance. Cette équipe ne doit pas être fermée, nous voulons nous améliorer et apporter du sang neuf. Nous voulons toujours améliorer l’équipe, apporter de la concurrence mais il ne faut pas faire n’importe quoi. Il y a une dynamique, une ossature, il ne s’agit pas de prendre pour prendre. Il faut aller chercher des joueurs capables de nous apporter un plus, là où nous sommes en manque. Que ce soit Boubacar Kamara, Sofiane Diop ou Malang Sarr, ce sont des garçons qui sont amenés à intégrer cette équipe. Mais il ne faut pas non plus faire n’importe quoi. Il ne s’agit pas de faire une révolution, mais de continuer à évoluer avec ce que nous avons toujours fait», a prévenu le sélectionneur champion d'Afrique.
Le technicien a ensuite beaucoup insisté sur la notion d’état d’esprit. « Je suis réfléchi car je sais que la stabilité d’un groupe est fragile. Il ne s’agit pas non plus d’amener des joueurs et de ne pas les faire jouer, ou d’amener des joueurs qui ne sont pas dans l’état d’esprit. Je parle beaucoup d’état d’esprit, de comportement, d’attitude car c’est pour moi la clé de la réussite. Toutes les grandes nations ont les qualités sportives. Le Cameroun, le Maroc, l’Algérie ont un bon pedigree, mais ce n’est pas ça qui nous fera gagner. Ce qui nous fera gagner, c’est cette solidarité, c’est avoir des joueurs intelligents, patriotes qui savent où ils sont et ce qu’attend le peuple, qu’à un moment donné, ces joueurs-là s’engagent véritablement, c’est au-delà de la tactique et des mises en place, c’est un comportement de tous les jours. Quand vous êtes ici, il faut savoir où est-ce que vous êtes et ce qu’on attend de vous», a fait savoir le sélectionneur des « Lions ».
«Forcément, quand vous voyez le niveau où l’équipe est, je peux comprendre que d’autres garçons aient envie d’intégrer l’équipe nationale. Mais il ne faut pas oublier que ceux qui sont là ont fait une grosse performance. Cette équipe ne doit pas être fermée, nous voulons nous améliorer et apporter du sang neuf. Nous voulons toujours améliorer l’équipe, apporter de la concurrence mais il ne faut pas faire n’importe quoi. Il y a une dynamique, une ossature, il ne s’agit pas de prendre pour prendre. Il faut aller chercher des joueurs capables de nous apporter un plus, là où nous sommes en manque. Que ce soit Boubacar Kamara, Sofiane Diop ou Malang Sarr, ce sont des garçons qui sont amenés à intégrer cette équipe. Mais il ne faut pas non plus faire n’importe quoi. Il ne s’agit pas de faire une révolution, mais de continuer à évoluer avec ce que nous avons toujours fait», a prévenu le sélectionneur champion d'Afrique.
Le technicien a ensuite beaucoup insisté sur la notion d’état d’esprit. « Je suis réfléchi car je sais que la stabilité d’un groupe est fragile. Il ne s’agit pas non plus d’amener des joueurs et de ne pas les faire jouer, ou d’amener des joueurs qui ne sont pas dans l’état d’esprit. Je parle beaucoup d’état d’esprit, de comportement, d’attitude car c’est pour moi la clé de la réussite. Toutes les grandes nations ont les qualités sportives. Le Cameroun, le Maroc, l’Algérie ont un bon pedigree, mais ce n’est pas ça qui nous fera gagner. Ce qui nous fera gagner, c’est cette solidarité, c’est avoir des joueurs intelligents, patriotes qui savent où ils sont et ce qu’attend le peuple, qu’à un moment donné, ces joueurs-là s’engagent véritablement, c’est au-delà de la tactique et des mises en place, c’est un comportement de tous les jours. Quand vous êtes ici, il faut savoir où est-ce que vous êtes et ce qu’on attend de vous», a fait savoir le sélectionneur des « Lions ».