«Un peu choquée ! Ce n’est pas tous les jours que le RAID vous réveille», confie cette sénégalaise. L’unité d’élite de la police était venue à 09 heures vendredi dernier (15 juillet) dans le petit immeuble de trois étages où vit la famille Diène pour faire exploser la porte de leur voisin. «C’est à ce moment que nous avons appris que c’est Mouhamed le principal suspect de la tuerie», témoigne Awa Diène, la sénégalaise de 29 ans dans les colonnes du «Le Soleil».
Décrivant Mouhamed Lahouaiej Bouhlel, la compatriote parle d’ «un grand homme mince, un peu baraqué. Mais, il n’est pas un bloc de muscles. Il est de peau mate comme certains maghrébins du Sud. Il me disait toujours bonjour mais de manière timide et effacée. On dirait qu’il n’arrivait pas à ouvrir la bouche quand il parlait. C’était un solitaire. Nous n’avons jamais eu d’histoires avec lui, contrairement à certains voisins». Bien que réservé, cela n’empêchait pas Mouhamed Lahouaiej Bouhlel à aller vers les autres quand il en avait besoin
«En rentrant de mon dernier séjour au Sénégal, j’avais rapporté des cartouches de cigarettes. Par l’intermédiaire d’une voisine gabonaise en commun, il était venu chez moi m’acheter deux cartouches. C’était au mois de février dernier», soit six (6) mois avant la terrible tuerie sur la Promenade des Anglais où le principal suspect de l’attentat de Nice a fait 84 morts et plus de 200 blessés dont certains dans un état très grave.
Décrivant Mouhamed Lahouaiej Bouhlel, la compatriote parle d’ «un grand homme mince, un peu baraqué. Mais, il n’est pas un bloc de muscles. Il est de peau mate comme certains maghrébins du Sud. Il me disait toujours bonjour mais de manière timide et effacée. On dirait qu’il n’arrivait pas à ouvrir la bouche quand il parlait. C’était un solitaire. Nous n’avons jamais eu d’histoires avec lui, contrairement à certains voisins». Bien que réservé, cela n’empêchait pas Mouhamed Lahouaiej Bouhlel à aller vers les autres quand il en avait besoin
«En rentrant de mon dernier séjour au Sénégal, j’avais rapporté des cartouches de cigarettes. Par l’intermédiaire d’une voisine gabonaise en commun, il était venu chez moi m’acheter deux cartouches. C’était au mois de février dernier», soit six (6) mois avant la terrible tuerie sur la Promenade des Anglais où le principal suspect de l’attentat de Nice a fait 84 morts et plus de 200 blessés dont certains dans un état très grave.