On ne peut pas dire qu’ils ne sont pas prévenus. «Samedi à 21 heures les panneaux qui resteront seront démolis ». Pis, «d’ici lundi, tous ces panneaux seront découpés par les ferrailleurs et seront vendus ». Ce sont là les propos du maire de la commune de Mermoz-Sacré cœur qui lance : «Quiconque veut mettre un parking pour vendre des voitures dans la commune, il doit d’abord payer un million de F CFA. Cela n’a rien à voir avec le loyer mensuel. C’est à prendre ou à laisser, on n’a pas besoin de marchander ».
La Sociétaire Immobilière du Cap vert (SICAP) en pren pour son grade. « Si la SICAP ne nous remet pas ces plans d’aménagement, elle n’a pas le droit de vendre. Je l’invite à se rapprocher de la mairie pour qu’on puisse voir ensemble…Dans le cas contraire, les constructions sur les terrains sur lesquels on aurait pu mettre une Mosquée, des écoles élémentaires seront démolies ». Loin d’en avoir fini, Barthélémy Dias exige « la présence de la commune dans toutes ces Commission de Contrôle des Opérations Domaniales (CCOD) ». Car, rage le responsable socialiste : «Nous remettons en cause toutes les délibérations qui ont déjà été prises…Ils se sont partagés des parcelles de 1000 et 2000 m2 », accuse ce dernier.
«Notre taxe sur l’électricité consommée, cela commence à faire désordre et à ce rythme, il faut que les choses soient dites, le budget de l’ancienne Commune d’arrondissement qu’on était, c’était 300 millions de F CFA de budget, le tiers de ce budget 108 millions de F CFA venait de la taxe sur l’électricité consommée. Je rappelle que cette taxe ce n’est pas du «s’il vous plait». Je rappelle à l’endroit de certains que la vision du Chef de l’Etat dans l’acte III de la décentralisation, c’était de faire de nos territoires des territoires fiables, viables, rentables et bancables.
A l’endroit de certains qui ont été battus lors des dernières élections locales, il n’y a pas lieu de sacrifier et de sanctionner les populations qui n’ont fait qu’exercer un droit que leur confère la Constitution », assène la maire de conclure que «retirer cette taxe à une commune comme Mermoz-Sacré cœur qui n’a pas de marchés, gare routière, les lieux de culte », cela veut dire tout simplement que «les écoles, les ASC ne pourront pas être subventionnés ». «Je préfère le dire haut et fort, nous ne l’accepterons pas et dans les mois à venir nous ne communiquerons plus, nous poserons des actes…», avertit Dias-fils.
La Sociétaire Immobilière du Cap vert (SICAP) en pren pour son grade. « Si la SICAP ne nous remet pas ces plans d’aménagement, elle n’a pas le droit de vendre. Je l’invite à se rapprocher de la mairie pour qu’on puisse voir ensemble…Dans le cas contraire, les constructions sur les terrains sur lesquels on aurait pu mettre une Mosquée, des écoles élémentaires seront démolies ». Loin d’en avoir fini, Barthélémy Dias exige « la présence de la commune dans toutes ces Commission de Contrôle des Opérations Domaniales (CCOD) ». Car, rage le responsable socialiste : «Nous remettons en cause toutes les délibérations qui ont déjà été prises…Ils se sont partagés des parcelles de 1000 et 2000 m2 », accuse ce dernier.
«Notre taxe sur l’électricité consommée, cela commence à faire désordre et à ce rythme, il faut que les choses soient dites, le budget de l’ancienne Commune d’arrondissement qu’on était, c’était 300 millions de F CFA de budget, le tiers de ce budget 108 millions de F CFA venait de la taxe sur l’électricité consommée. Je rappelle que cette taxe ce n’est pas du «s’il vous plait». Je rappelle à l’endroit de certains que la vision du Chef de l’Etat dans l’acte III de la décentralisation, c’était de faire de nos territoires des territoires fiables, viables, rentables et bancables.
A l’endroit de certains qui ont été battus lors des dernières élections locales, il n’y a pas lieu de sacrifier et de sanctionner les populations qui n’ont fait qu’exercer un droit que leur confère la Constitution », assène la maire de conclure que «retirer cette taxe à une commune comme Mermoz-Sacré cœur qui n’a pas de marchés, gare routière, les lieux de culte », cela veut dire tout simplement que «les écoles, les ASC ne pourront pas être subventionnés ». «Je préfère le dire haut et fort, nous ne l’accepterons pas et dans les mois à venir nous ne communiquerons plus, nous poserons des actes…», avertit Dias-fils.