Ce n’est pas seulement la Gambie qui subit de plein fouet les conséquences désastreuses causées par le blocus de la transgambienne intervenue depuis le mois de février dernier. Cette situation affecte également les transporteurs et les commerçants du Sénégal : «Il ne suffit pas d’être un expert en économie pour savoir que les désagréments inhérents à cette situation font souffrir le martyr aux transporteurs et commerçants», a déclaré Douda Tine, le secrétaire général de l’Union nationale des commerçants et transporteurs du Sénégal (Uncts) de l’axe Dakar-Banjul, qui précise par ailleurs que : «le manque à gagner est de 20 millions FCfa».
Selon lui, les Présidents des deux pays doivent se mettre autour d’une table afin d’aplanir les différends qui subsistent entre les deux Etats : «avant que la crise ne s’exacerbe pour donner lieu à des conséquences économiques et sociales encore plus dévastatrices, nous appelons les deux chefs d’Etat des deux pays frères à explorer les voies et moyens d’une solution rapide et définitive du problème qui n’a que trop duré », a-t-il indiqué.
Le transporteur est aussi d’avis que les chefs religieux doivent s’impliquer davantage dans la résolution de la crise entre le Sénégal et la Gambie : «Nous voudrions solennellement inviter les guides religieux des deux pays à jouer leur partition dans la recherche d’un règlement définitif de la crise »,-t-il imploré.
Selon lui, les Présidents des deux pays doivent se mettre autour d’une table afin d’aplanir les différends qui subsistent entre les deux Etats : «avant que la crise ne s’exacerbe pour donner lieu à des conséquences économiques et sociales encore plus dévastatrices, nous appelons les deux chefs d’Etat des deux pays frères à explorer les voies et moyens d’une solution rapide et définitive du problème qui n’a que trop duré », a-t-il indiqué.
Le transporteur est aussi d’avis que les chefs religieux doivent s’impliquer davantage dans la résolution de la crise entre le Sénégal et la Gambie : «Nous voudrions solennellement inviter les guides religieux des deux pays à jouer leur partition dans la recherche d’un règlement définitif de la crise »,-t-il imploré.