«Les forces d’attente, c’est un ensemble de soldats appartenant aux pays membres de la CÉDÉAO. Ils sont dans leurs pays et ils sont prêts à intervenir. Ils attentent juste l’alerte», informe Marcel Alain de Souza.
Le président de la commission de la CÉDÉAO qui précise qu'ils n'espèrent pas en arriver à une intervention, souligne que «c’est pourquoi le président Macky Sall et d’autres chefs d’Etats ont souhaité que le président Buhari, qui a été nommé médiateur et le président John Dramani Mahama (président sortant au Ghana) qui est un co-médiateur, puissent faire entendre raison à Monsieur Yaya Jammeh.
«Donc, on prône la médiation, la persuasion…», déclare Marcel Alain de Souza sur la Rfm.
Rappelant que «le délai constitutionnel pour la fin du mandat du président Jammeh est de grande envergure et qu'on doit respecter», le président de la commission soutient que «pendant ce temps, toute une stratégie est mise au point par l’ensemble des chefs d’Etats pour parler un langage de fermeté et d’envoyer des signaux forts pour que Yaya Jammeh comprenne que nul ne doit s’opposer à la loi».
Le président de la commission de la CÉDÉAO qui précise qu'ils n'espèrent pas en arriver à une intervention, souligne que «c’est pourquoi le président Macky Sall et d’autres chefs d’Etats ont souhaité que le président Buhari, qui a été nommé médiateur et le président John Dramani Mahama (président sortant au Ghana) qui est un co-médiateur, puissent faire entendre raison à Monsieur Yaya Jammeh.
«Donc, on prône la médiation, la persuasion…», déclare Marcel Alain de Souza sur la Rfm.
Rappelant que «le délai constitutionnel pour la fin du mandat du président Jammeh est de grande envergure et qu'on doit respecter», le président de la commission soutient que «pendant ce temps, toute une stratégie est mise au point par l’ensemble des chefs d’Etats pour parler un langage de fermeté et d’envoyer des signaux forts pour que Yaya Jammeh comprenne que nul ne doit s’opposer à la loi».