« Malgré une situation difficile sur le monde rural, il n’y a pas de famine au Sénégal », ces propos sont de Nadjirou Sall, le président du Conseil national de concertation et de coopération des ruraux (CNCR). Toutefois, il reconnaît l’existence de déficit alimentaire et appelle l’Etat à renforcer ses efforts et à penser les stratégies de développement durable. Il s’exprimait, ce 16 mars 2025, lors de l’émission Jury du dimanche où il a été l’invité.
« Il y a eu des difficultés de payer les opérateurs, de payer les opérateurs au départ qui étaient résorbés à la dernière minute. Je crois que ça a beaucoup joué sur la campagne. Et d’une manière générale, ce que nous retenu dans la campagne agricole cette année, que la commercialisation de l’arachide ne va pas bien se passer », a dénoncé Nadjirou Sall.
Par ailleurs, il soutient qu’il ne croit pas à la famine contrairement à ce que certains pensent. « Je ne pense pas à la famine. Parce qu'il n'y a pas eu une bonne production de l’arachide, mais il y a une bonne production des céréales sèches, comme le maïs, le niébé. C’est ça qui fait nourrir les gens. Il peut y avoir des poches. Il y aura toujours des poches. Ou il peut y avoir des déficits alimentaires. D’une manière générale, si on voit la campagne, il y a une bonne production sur les céréales », a indiqué M. Sall.
« Il y a eu des difficultés de payer les opérateurs, de payer les opérateurs au départ qui étaient résorbés à la dernière minute. Je crois que ça a beaucoup joué sur la campagne. Et d’une manière générale, ce que nous retenu dans la campagne agricole cette année, que la commercialisation de l’arachide ne va pas bien se passer », a dénoncé Nadjirou Sall.
Par ailleurs, il soutient qu’il ne croit pas à la famine contrairement à ce que certains pensent. « Je ne pense pas à la famine. Parce qu'il n'y a pas eu une bonne production de l’arachide, mais il y a une bonne production des céréales sèches, comme le maïs, le niébé. C’est ça qui fait nourrir les gens. Il peut y avoir des poches. Il y aura toujours des poches. Ou il peut y avoir des déficits alimentaires. D’une manière générale, si on voit la campagne, il y a une bonne production sur les céréales », a indiqué M. Sall.