Selon eux, « la Commission a de bonnes raisons de croire que des crimes contre l’humanité, tels que l’esclavage, l’emprisonnement, la disparition forcée, la torture, la persécution, le viol, le meurtre et d’autres actes inhumains ont été commis en Erythrée depuis 1991 », date à laquelle ce pays de la Corne de l’Afrique a arraché son indépendance.
La raison de ces « attaques répétées, généralisées et systématiques contre les populations civiles», d’après les auteurs de ce document ? Contrôler ses ressortissants et permettre à un régime «autoritaire», où les pouvoirs sont concentrés entre les mains du président Isaias Afewerki et d’un petit cercle de militaires et de politiques, de se maintenir aux commandes.
Mike Smith, le chef de cette commission onusienne qui a bâti son rapport avec plus de 830 témoignages d’exilés faute d’avoir eu le droit de se rendre en Erythrée, a affirmé mercredi, lors d’une conférence de presse, que «malheureusement, les violations massives des droits de l’homme se poursuivent. Elles sont commises souvent à l’abri des...».
Source: LeMonde.fr
La raison de ces « attaques répétées, généralisées et systématiques contre les populations civiles», d’après les auteurs de ce document ? Contrôler ses ressortissants et permettre à un régime «autoritaire», où les pouvoirs sont concentrés entre les mains du président Isaias Afewerki et d’un petit cercle de militaires et de politiques, de se maintenir aux commandes.
Mike Smith, le chef de cette commission onusienne qui a bâti son rapport avec plus de 830 témoignages d’exilés faute d’avoir eu le droit de se rendre en Erythrée, a affirmé mercredi, lors d’une conférence de presse, que «malheureusement, les violations massives des droits de l’homme se poursuivent. Elles sont commises souvent à l’abri des...».
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