Dans un communiqué parvenu à Pressafrik, le Saes explique qu’ « après avoir écouté le compte rendu du secrétaire général, complété par le premier adjoint aux revendications, le Bureau national marque toute sa déception et sa désapprobation par rapport aux conclusions issues de la table ronde n°2 relative à la viabilité du régime FNR (fonds national de retraite) et les perspectives d’amélioration de la retraite des fonctions».
Pour marquer son rejet par rapport auxdites conclusions, les syndicalistes ont décidé d’observer 48 heures de grève, à partir de ce jeudi.
Toutefois, l'instance dirigeante de ce syndicat «tient à informer l’opinion publique nationale et internationale que fort des engagements pris par les autorités, le Saes s’était engagé à œuvrer pour un apaisement du climat au sein des campus universitaire dans l’attente des conclusions de la Conférence sociale ».
Le syndicat de l’enseignement prévient cependant qu’« il ne sera jamais question pour lui d’entériner les décisions retenues lors de la table ronde sur le FNR et reste plus que jamais sur l’accord conclu avec le gouvernement. Malgré les gros efforts consentis par les enseignants-chercheurs et la preuve d’une large ouverture d’esprit et d’une très grande disponibilité, le Saes est résolument engagé dans la lutte et demande par conséquent, au gouvernement, de respecter ses engagements.
«Sinon, relève-t-il dans le document, le Saes tiendrait le gouvernement responsable de toute perturbation qui surviendrait dans le sous-secteur de l’enseignement supérieur».
Pour marquer son rejet par rapport auxdites conclusions, les syndicalistes ont décidé d’observer 48 heures de grève, à partir de ce jeudi.
Toutefois, l'instance dirigeante de ce syndicat «tient à informer l’opinion publique nationale et internationale que fort des engagements pris par les autorités, le Saes s’était engagé à œuvrer pour un apaisement du climat au sein des campus universitaire dans l’attente des conclusions de la Conférence sociale ».
Le syndicat de l’enseignement prévient cependant qu’« il ne sera jamais question pour lui d’entériner les décisions retenues lors de la table ronde sur le FNR et reste plus que jamais sur l’accord conclu avec le gouvernement. Malgré les gros efforts consentis par les enseignants-chercheurs et la preuve d’une large ouverture d’esprit et d’une très grande disponibilité, le Saes est résolument engagé dans la lutte et demande par conséquent, au gouvernement, de respecter ses engagements.
«Sinon, relève-t-il dans le document, le Saes tiendrait le gouvernement responsable de toute perturbation qui surviendrait dans le sous-secteur de l’enseignement supérieur».