Après l’explosion de gaz qui a fait des morts à Derklé, une rumeur persistante avait circulé, prétendant que l’une des victimes, Sagar Diouf, qui préparait le repas au moment de l’accident, avait le téléphone collé à l’oreille. Sa présumée communication aurait déclenché l’explosion.
Dans son édition de ce mercredi, le journal L’Observateur renseigne que cette thèse s’est avérée fausse. Les réquisitions de la Sonatel ont confirmé que la dame n’a reçu ni émis d’appel les instants précédant le drame. Les autres victimes n’étaient pas en communication non plus. La même source indique que « les téléphones des victimes étaient sous scellés ».
Une dame nommée A. Davega avait contribué à alimenter la rumeur. Après avoir diffusé l’infox dans un groupe WhatsApp. Elle s’était même lancée dans la sensibilisation sur les dangers supposés de l’utilisation du téléphone à côté d’une bouteille de gaz allumée.
L’Observateur informe que cette dernière a été convoquée par les enquêteurs pour renseignement. Lors de son interrogation, elle a déclaré s’être fondée sur une rumeur pour diffuser le «message» avant de présenter ses excuses.
Dans son édition de ce mercredi, le journal L’Observateur renseigne que cette thèse s’est avérée fausse. Les réquisitions de la Sonatel ont confirmé que la dame n’a reçu ni émis d’appel les instants précédant le drame. Les autres victimes n’étaient pas en communication non plus. La même source indique que « les téléphones des victimes étaient sous scellés ».
Une dame nommée A. Davega avait contribué à alimenter la rumeur. Après avoir diffusé l’infox dans un groupe WhatsApp. Elle s’était même lancée dans la sensibilisation sur les dangers supposés de l’utilisation du téléphone à côté d’une bouteille de gaz allumée.
L’Observateur informe que cette dernière a été convoquée par les enquêteurs pour renseignement. Lors de son interrogation, elle a déclaré s’être fondée sur une rumeur pour diffuser le «message» avant de présenter ses excuses.