C’est «le cœur meurtri» que les ces ex-travailleurs du nettoiement poursuivent leur grève de la faim. Le mouvement entamé il y a dix (10) jours, une neuvième personne a été évacuée à l’hôpital. Loin de reculer, les ex-agents par la voix de leur porte-parole annonce qu’ils vont passer à la vitesse supérieur. Forts de ce fait, ils interpellent le Chef de l’Etat lui-même pour qu’il n’y ait pas mort d’homme. Les grévistes réclament trois (3) milliards, «de la poudre aux yeux pour l’Etat », selon leurs propres termes.