Le feu s’est déclaré peu avant minuit, dans un atelier de couture, semble-t-il. On ne connaît pas encore les causes de l’incendie même si certains parlent d’un « court-circuit ».
En tout cas les pompiers sont arrivés très vite mais ils n’ont pas pu pénétrer dans le marché. Madina, en effet, c’est une véritable ruche avec des milliers de petits commerçants qui travaillent dans ses ruelles étroites, sans aucune voie d’accès pour les véhicules.
C’est donc à pied que la protection civile s’est frayée un chemin dans les décombres entre les badauds, les femmes en pleurs et les commerçants désemparés qui transportaient, à la main, des bidons d’eau.
« Nous avons tout perdu », disait l’un d’entre eux à RFI, devant les cendres encore fumantes de sa boutique.
Le Goha, le Groupe des hommes d'affaires organisés, organisation de promotion et de protection des droits des opérateurs économiques guinéens, déplore d'importants dégâts.
En tout cas les pompiers sont arrivés très vite mais ils n’ont pas pu pénétrer dans le marché. Madina, en effet, c’est une véritable ruche avec des milliers de petits commerçants qui travaillent dans ses ruelles étroites, sans aucune voie d’accès pour les véhicules.
C’est donc à pied que la protection civile s’est frayée un chemin dans les décombres entre les badauds, les femmes en pleurs et les commerçants désemparés qui transportaient, à la main, des bidons d’eau.
« Nous avons tout perdu », disait l’un d’entre eux à RFI, devant les cendres encore fumantes de sa boutique.
Le Goha, le Groupe des hommes d'affaires organisés, organisation de promotion et de protection des droits des opérateurs économiques guinéens, déplore d'importants dégâts.