Oumar Ndiaye est le porte-parole des militaires invalides. «Nous avons des carnets de soins qu’on doit viser par des médecins. A chaque fois qu’on a ce problème, il nous faut faire le tour de Dakar pour que ce carnet soit signé», crache-t-il.
Pis, selon ces propres termes : «Encore, un médecin Colonel qui te signe le carnet ou te fait une ordonnance, il faut venir jusqu’à UHO, hôpital militaire de Ouakam pour que cela soit visé par un sous-officier… ».
Parlant de «contradiction», il indique que «cela fait trois (3) à quatre (4) jours, à chaque fois qu’il viennent, on leur dit que l’officier n’est pas là». «On retourne chez nous alors que certains viennent de l’intérieur du pays. Personne n’est irremplaçable», fulmine Oumar Ndiaye qui «ne comprend qu’un Etat puisse laisser les militaires invalides dans une telle situation».
Les militaires invalides ont barré la route de Ouakam ce mardi.
Pis, selon ces propres termes : «Encore, un médecin Colonel qui te signe le carnet ou te fait une ordonnance, il faut venir jusqu’à UHO, hôpital militaire de Ouakam pour que cela soit visé par un sous-officier… ».
Parlant de «contradiction», il indique que «cela fait trois (3) à quatre (4) jours, à chaque fois qu’il viennent, on leur dit que l’officier n’est pas là». «On retourne chez nous alors que certains viennent de l’intérieur du pays. Personne n’est irremplaçable», fulmine Oumar Ndiaye qui «ne comprend qu’un Etat puisse laisser les militaires invalides dans une telle situation».
Les militaires invalides ont barré la route de Ouakam ce mardi.