Fabakary Tombong Jatta, Leader de la majorité parlementaire sous Jammeh
A une centaine de kilomètres de Banjul, dans la région ouest de la Gambie, il y a l'autre place forte du parti de Yahya Jammeh.
Il s'agit de Kanilai, le village natal de l'ancien président qui reste le bastion de l'APRC.
Là-bas, c'est un cousin de Jammeh qui a été choisi pour diriger tout le district qui compte plus d'une vingtaine de villages.
Les sentiments pour Yahya Jammeh y vont au-delà de l'estime à l'endroit d'un chef de parti.
Nous voulons qu'il revienne, nous avons besoin de sa présence car c'est notre frère et il nous manque. Il doit donc revenir ; c'est un gambien, il doit revenir qu'il pleuve ou qu'il neige
Ousman Kujabi, Cousin de Yahya Jammeh
Il faut donc mobiliser les militants et entretenir leur énergie.
Fabakary Tombong Jatta et les siens organisent de plus en plus en plus d'activités politiques comme ce fut le cas il y a deux semaines à Mankamang Kunda, fief du président Adama Barrow.
En novembre dernier, un grand meeting populaire du parti a rassemblé des dizaines de milliers de militants et sympathisants à Tallinding,
50 milles supporters selon ses organisateurs.
Malgré les récentes interpellations du leadership du parti auxquelles s'ajoutent les allégations de détournement de fonds publiques ainsi que les crimes de sang qui font planer la menace d'un procès sur Yahya Jammeh, ses supporters comptent toujours rebondir et n'excluent pas de faire alliance un jour avec un autre parti politique gambien.
Une alliance est possible avec tout autre parti politique, mais il faut qu'on nous respecte comme un grand parti. L'APRC est encore populaire
Après deux défaites consécutives lors de la présidentielle de décembre 2016 et des législatives d'avril 2017 où, Yankuba Colley, le maire de la commune de Kanifing et chargé de la propagande du parti de Yahya Jammeh invite le gouvernement du président Barrow à regarder au-delà de cette contreperformance.
Le gouvernement est pour nous tous, et la participation doit concerner tout le monde sans que les choses ne soient ce qu'elles sont en ce moment.
A une centaine de kilomètres de Banjul, dans la région ouest de la Gambie, il y a l'autre place forte du parti de Yahya Jammeh.
Il s'agit de Kanilai, le village natal de l'ancien président qui reste le bastion de l'APRC.
Là-bas, c'est un cousin de Jammeh qui a été choisi pour diriger tout le district qui compte plus d'une vingtaine de villages.
Les sentiments pour Yahya Jammeh y vont au-delà de l'estime à l'endroit d'un chef de parti.
Ousman Kujabi, le cousin de Yahya Jammeh et patron de l'APRC dans ce district du Foni gambien.
Nous voulons qu'il revienne, nous avons besoin de sa présence car c'est notre frère et il nous manque. Il doit donc revenir ; c'est un gambien, il doit revenir qu'il pleuve ou qu'il neige
Ousman Kujabi, Cousin de Yahya Jammeh
Il faut donc mobiliser les militants et entretenir leur énergie.
Fabakary Tombong Jatta et les siens organisent de plus en plus en plus d'activités politiques comme ce fut le cas il y a deux semaines à Mankamang Kunda, fief du président Adama Barrow.
En novembre dernier, un grand meeting populaire du parti a rassemblé des dizaines de milliers de militants et sympathisants à Tallinding,
50 milles supporters selon ses organisateurs.
Malgré les récentes interpellations du leadership du parti auxquelles s'ajoutent les allégations de détournement de fonds publiques ainsi que les crimes de sang qui font planer la menace d'un procès sur Yahya Jammeh, ses supporters comptent toujours rebondir et n'excluent pas de faire alliance un jour avec un autre parti politique gambien.
Une alliance est possible avec tout autre parti politique, mais il faut qu'on nous respecte comme un grand parti. L'APRC est encore populaire
Après deux défaites consécutives lors de la présidentielle de décembre 2016 et des législatives d'avril 2017 où, Yankuba Colley, le maire de la commune de Kanifing et chargé de la propagande du parti de Yahya Jammeh invite le gouvernement du président Barrow à regarder au-delà de cette contreperformance.
Le gouvernement est pour nous tous, et la participation doit concerner tout le monde sans que les choses ne soient ce qu'elles sont en ce moment.
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