Les établissements privés du Sénégal comptent coincer l’Etat à la prochaine rentrée académique (2018-2019). Ils exigent à ce dernier d’éponger la dette de 16 milliards qu’il doit à une centaine d’universités privées.
«Si la dette de l’Etat n’est pas épongée, il sera impossible d’admettre les étudiants pris en charge par l’Etat au titre de la prochaine année académique en novembre 2018 », prévient le président de la Cepes.
Mamadou Gning de souligner que si l’Etat ne règle pas cette question, il sera difficile, voire impossible, pour les établissements privés d'enseignement supérieur (Epes) de démarrer l’année académique 2018-2019.
«Si la dette de l’Etat n’est pas épongée, il sera impossible d’admettre les étudiants pris en charge par l’Etat au titre de la prochaine année académique en novembre 2018 », prévient le président de la Cepes.
Mamadou Gning de souligner que si l’Etat ne règle pas cette question, il sera difficile, voire impossible, pour les établissements privés d'enseignement supérieur (Epes) de démarrer l’année académique 2018-2019.