Les chauffeurs de Taxi du Sénégal ont décidé d’organiser une marche cet après-midi pour exiger de l’Etat l’abrogation de la loi sur les laissez-passer et l’affichage dans les commissariats de police les tarifs des amendes forfaitaires, qui sont souvent source de corruption. Sur ce, le porte-parole des chauffeurs de taxi Modou Seck a souligné que leur souhait majeur est la multiplication des centres de contrôle techniques au Sénégal.
« Nous avons une marche aujourd’hui à partir de 16 heures pour les motifs suivants. L’aéroport International Blaise Diagne (AIBD) est en train de ralentir tout notre travail. L’abrogation de la loi sur les laissez-passer et l’affichage dans les commissariats de police des tarifs des amendes forfaitaires », a déclaré le porte-parole des chauffeurs de Taxi Modou Seck sur les ondes de Zik Fm.
Poursuivant, il a également indiqué qu’ils sont parfois contraints par des problèmes liés à l’assurance, mais aussi la concurrence déloyale. «Si tu prends un client pour aller à l’aéroport et,qu' on veut descendre au commissariat de Rufisque, le client, pour ne pas être retardé peut refuser. Ce qui va nous poser un énorme problème. C’est pourquoi nous demandons que toutes les amandes forfaitaires soient publiées dans tous les bureaux de contravention de la police », a-t-il laissé entendre.
« Nous avons une marche aujourd’hui à partir de 16 heures pour les motifs suivants. L’aéroport International Blaise Diagne (AIBD) est en train de ralentir tout notre travail. L’abrogation de la loi sur les laissez-passer et l’affichage dans les commissariats de police des tarifs des amendes forfaitaires », a déclaré le porte-parole des chauffeurs de Taxi Modou Seck sur les ondes de Zik Fm.
Poursuivant, il a également indiqué qu’ils sont parfois contraints par des problèmes liés à l’assurance, mais aussi la concurrence déloyale. «Si tu prends un client pour aller à l’aéroport et,qu' on veut descendre au commissariat de Rufisque, le client, pour ne pas être retardé peut refuser. Ce qui va nous poser un énorme problème. C’est pourquoi nous demandons que toutes les amandes forfaitaires soient publiées dans tous les bureaux de contravention de la police », a-t-il laissé entendre.