Selon Ndèye Fatou Touré, Actuaire Directrice de PWC Pricewaterhouse Coopers Africa Francophone, si la maîtrise des communautaires cas pose toujours problème, c’est parce qu’il y en des porteurs sains du virus, qui ne sont ni pris en charge, ni identifiés. Elle s'exprimait ce dimanche au micro de Sud Fm.
« Ces cas de transmission communautaire sont vraiment inquiétants parce que tout simplement, on ne sait pas, il y a dès fois des contagions qui sont complètement inconnues. Pour ces personnes-là, il y a des porteuses du virus qui ne sont pas identifiés, des porteurs sains, et cela veut dire qu’on ne les a pas pris en charge et aujourd’hui quand on identifie un cas, il y a une prise en charge, une mise en quarantaine de toutes les personnes qui ont été autour de ces personnes-là », a dit Mme. Touré.
Avant de souligner que ce qui rend la prédilection difficile voire impossible, c'est cette non-identification. « Aujourd’hui, ces cas communautaires-là, on ne sait où ils sont, qui ils ont pu contaminer et du coup se sont ces cas-là qui rendent la prédiction difficile voire impossible, comment est-ce qu’ils ont attrapé le virus avec qui ils ont été en contact, donc c’est très compliqué », a conclu l’invitée de l’émission Objection de ce dimanche 12 avril 2020.
« Ces cas de transmission communautaire sont vraiment inquiétants parce que tout simplement, on ne sait pas, il y a dès fois des contagions qui sont complètement inconnues. Pour ces personnes-là, il y a des porteuses du virus qui ne sont pas identifiés, des porteurs sains, et cela veut dire qu’on ne les a pas pris en charge et aujourd’hui quand on identifie un cas, il y a une prise en charge, une mise en quarantaine de toutes les personnes qui ont été autour de ces personnes-là », a dit Mme. Touré.
Avant de souligner que ce qui rend la prédilection difficile voire impossible, c'est cette non-identification. « Aujourd’hui, ces cas communautaires-là, on ne sait où ils sont, qui ils ont pu contaminer et du coup se sont ces cas-là qui rendent la prédiction difficile voire impossible, comment est-ce qu’ils ont attrapé le virus avec qui ils ont été en contact, donc c’est très compliqué », a conclu l’invitée de l’émission Objection de ce dimanche 12 avril 2020.