Les enseignants ne comptent lâcher du lest dans leur désir de voir le gouvernement matérialiser les accords signés. Dans ce cette optique, annonce le porte-parole de l'inter-cadre, l'Etat doit initier des négociations sincères avec les syndicats, et prône pour l'unité syndicale.
«Tous les cadres, le groupe des 7 et l’inter-cadre vont se retrouver ce samedi, pour pouvoir véritablement unir leur force. C’est seulement à travers une unité d’action qu’on peut amener le gouvernement à appliquer les accords qui ont été signés depuis 2014», a déclaré Cheikh Alassane Sène.
Il est d’avis que ce problème qui menace l’avenir des élèves ne peut être résolu que si on intègre tous les départements ministériels concernés.
«On doit convoquer tous les départements ministériels qui sont impliqués, voir le niveau d’exécution et essayer de trouver le plus rapidement possible des solutions au lieu d’aller à des ponctions. Ces ponctions ne feront pas reculer les enseignants», a-t-il précisé.
«Il y a les revendications pédagogiques, là c’est le ministre de l’Education qui est compétent. Il y a la formation diplomate, la gestion démocratique du personnel enseignant, l’éradication des abris provisoires », a-t-il rappelé.
«Pour les revendications financières, a conclu Cheikh Alassane Sène, il y a le problème de paiements des rappels, d’intégration, d’avancement, de classement, de titularisation. Et, pour tout ceci, l’Etat est dans l’obligation aujourd’hui, d’ouvrir des négociations».
«Tous les cadres, le groupe des 7 et l’inter-cadre vont se retrouver ce samedi, pour pouvoir véritablement unir leur force. C’est seulement à travers une unité d’action qu’on peut amener le gouvernement à appliquer les accords qui ont été signés depuis 2014», a déclaré Cheikh Alassane Sène.
Il est d’avis que ce problème qui menace l’avenir des élèves ne peut être résolu que si on intègre tous les départements ministériels concernés.
«On doit convoquer tous les départements ministériels qui sont impliqués, voir le niveau d’exécution et essayer de trouver le plus rapidement possible des solutions au lieu d’aller à des ponctions. Ces ponctions ne feront pas reculer les enseignants», a-t-il précisé.
«Il y a les revendications pédagogiques, là c’est le ministre de l’Education qui est compétent. Il y a la formation diplomate, la gestion démocratique du personnel enseignant, l’éradication des abris provisoires », a-t-il rappelé.
«Pour les revendications financières, a conclu Cheikh Alassane Sène, il y a le problème de paiements des rappels, d’intégration, d’avancement, de classement, de titularisation. Et, pour tout ceci, l’Etat est dans l’obligation aujourd’hui, d’ouvrir des négociations».