Le maire de la ville de Dakar Khalifa Ababacar Sall et Cie restent en prison. En effet, la décision rendue ce vendredi matin par le juge a tout chamboulé du côté de la défense. Selon Me Baboucar Cissé un des avocats de l’Etat, le Tribunal a statué sur les exceptions d’incompétence les exceptions de litispendance et la demande de liberté provisoire qui a été formulée par les prévenus.
« Le Tribunal a rejeté toutes les exceptions qui ont été soulevées. Donc le tribunal n’a fait que dire le droit. En ce qui concerne la demande de liberté provisoire avec une autorisation de cautionnement, le tribunal a soutenu point par point. Puisque des biens immobiliers qui n’appartiennent même pas aux personnes indiqués ont été offerts en garantie », a-t-il fait savoir.
La robe noire poursuit :, « mais le Tribunal a estimé que la demande de liberté provisoire ne répondait pas aux dispositions de l’article 140 du Code de procédure pénal. C’est-à-dire le remboursement ou le cautionnement. Ce qui n’a pas été le cas. Et, en conséquence le tribunal l’a rejeté. Le tribunal a souligné qu’il est compétent ».
Selon Me Baboucar Cissé « il est temps d’aborder le fond du procès. « La défense ne voulait pas aller au fond. Ils ont voulu abréger le procès. Et, le fond est assez clair. Il s’agit d’un dossier de flagrants délits. Et, en matière de flagrants délits, les faits sont clairs, indiscutable et constant », a précisé M. Cissé.
Le fond de ce procès, indique-t-il, va nous permettre de monter à l’opinion publique nationale et internationale que des malversations ont été commises par les prévenus, Khalifa Sall et Cie.
« Le Tribunal a rejeté toutes les exceptions qui ont été soulevées. Donc le tribunal n’a fait que dire le droit. En ce qui concerne la demande de liberté provisoire avec une autorisation de cautionnement, le tribunal a soutenu point par point. Puisque des biens immobiliers qui n’appartiennent même pas aux personnes indiqués ont été offerts en garantie », a-t-il fait savoir.
La robe noire poursuit :, « mais le Tribunal a estimé que la demande de liberté provisoire ne répondait pas aux dispositions de l’article 140 du Code de procédure pénal. C’est-à-dire le remboursement ou le cautionnement. Ce qui n’a pas été le cas. Et, en conséquence le tribunal l’a rejeté. Le tribunal a souligné qu’il est compétent ».
Selon Me Baboucar Cissé « il est temps d’aborder le fond du procès. « La défense ne voulait pas aller au fond. Ils ont voulu abréger le procès. Et, le fond est assez clair. Il s’agit d’un dossier de flagrants délits. Et, en matière de flagrants délits, les faits sont clairs, indiscutable et constant », a précisé M. Cissé.
Le fond de ce procès, indique-t-il, va nous permettre de monter à l’opinion publique nationale et internationale que des malversations ont été commises par les prévenus, Khalifa Sall et Cie.