Le collectif des avocats de Karim s’est fendu d’un communiqué. Ce, pour regretter que « le jugement de Karim WADE devant la Cour de Répression de l’Enrichissement Illicite (CREI), qui devait reprendre ce jour 1er décembre, a fait l’objet d’un renvoi au 22 décembre 2014. Les avocats constitués en ont été informés, pour certains, par message téléphonique et, pour d’autres, par affichage au Palais de Justice ». Me Ciré Clédor LY et Cie dénoncent « un procédé qui ne tient aucun compte du nécessaire dialogue entre les différents acteurs de la justice pour un déroulement pacifique du procès ».
Pis, « devant ce qui apparaît comme une tentative de faire un procès à huis clos, loin des regards de tous ceux qui sont présents au Sénégal à l’occasion du sommet de la francophonie et de son forum économique, ces faits confirment de manière éclatante que Karim WADE subit les rigueurs et abus d’un procès politique dont les organisateurs ne se gênent pas pour violer ses droits ».
Pour eux, « le renvoi d’autorité du jugement à la fin de l’année, après une première interruption d’une vingtaine de jours, intervient sans que la cour ne se prononce sur une demande de libération présentée par ses Avocats ». Loin d’être aussi virulente, la partie civile elle, regrette le fait que «le procès commence à tirer en longueur ».
Pis, « devant ce qui apparaît comme une tentative de faire un procès à huis clos, loin des regards de tous ceux qui sont présents au Sénégal à l’occasion du sommet de la francophonie et de son forum économique, ces faits confirment de manière éclatante que Karim WADE subit les rigueurs et abus d’un procès politique dont les organisateurs ne se gênent pas pour violer ses droits ».
Pour eux, « le renvoi d’autorité du jugement à la fin de l’année, après une première interruption d’une vingtaine de jours, intervient sans que la cour ne se prononce sur une demande de libération présentée par ses Avocats ». Loin d’être aussi virulente, la partie civile elle, regrette le fait que «le procès commence à tirer en longueur ».