Le bilan établi par la Cenco des marches du 25 février se monte à au moins deux morts et 32 blessés, dont 13 par balles, ainsi que 76 interpellations. Une répression particulièrement violente dans certaines paroisses à Kinshasa, mais aussi à Mbandaka, capitale de la province de l'Equateur.
Monseigneur Fridolin Ambongo, le futur cardinal du Congo et vice-président de la Cenco y est archevêque. Il affiche son incompréhension : « Trois fois de suite, un pouvoir continue à réprimer une population pacifique qui ne fait que exercer un droit constitutionnel. C’est incompréhensible et en même temps révoltant. »
Un mort dans sa ville, un jeune, et 13 blessés dont trois dans un état grave. L'agent de la police navale, responsable de l'assassinat et qualifié « d'incontrôlé », a déjà été condamné à mort, selon les autorités locales. Mais pour Mgr Ambongo, cela ne suffit pas à expliquer la violence dans sa ville. Les 13 blessés sont bel et bien du fait de la police nationale.
Monseigneur Fridolin Ambongo, le futur cardinal du Congo et vice-président de la Cenco y est archevêque. Il affiche son incompréhension : « Trois fois de suite, un pouvoir continue à réprimer une population pacifique qui ne fait que exercer un droit constitutionnel. C’est incompréhensible et en même temps révoltant. »
Un mort dans sa ville, un jeune, et 13 blessés dont trois dans un état grave. L'agent de la police navale, responsable de l'assassinat et qualifié « d'incontrôlé », a déjà été condamné à mort, selon les autorités locales. Mais pour Mgr Ambongo, cela ne suffit pas à expliquer la violence dans sa ville. Les 13 blessés sont bel et bien du fait de la police nationale.